Astral : mes expériences et réflexions spirituelles.

Nous ne sommes pas des êtres humains vivant plus ou moins une expérience spirituelle, nous sommes des êtres spirituels vivant complètement une expérience humaine. Pierre Teilhard de Chardin.

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lundi, août 8 2011

Revoir pour retrouver, dans cette incarnation, ses possibilités.

Bonjour Francis, je te fais partager mon vécu de cette nuit, tu me donneras tes impressions...peut-être sentiras-tu un message supplémentaire qui m'aurait échappé ? Je te souhaite une très belle année à venir, la mienne commence bien :

Nuit du 3 au 4 janvier 2010-01-04 Travail avec les phosphènes les jours auparavant. Je demande à mes guides de m’aider à mon évolution, et de me donner de quoi progresser, de m’octroyer par un éveil dans mon sommeil, une plus grande clairvoyance sur mon chemin de vie. Je n’imaginais pas que j’allais être gâtée, et rapidement ! Dans la nuit, je sens les vibrations monter du bas de mon dos jusqu’à la nuque, s’intensifier, et en même temps, la « connexion », comme cela se passe habituellement. Je suis heureuse, car je sais que soit je vais voyager astralement, soit partir dans une autre dimension, pour avoir accès à quelque connaissance oubliée comme mes précédentes expériences via les groupes d’âmes, ou via les vies antérieures. Cependant, j’aime tellement ces vibrations qui me secouent et le son qui les accompagne, que j’essaie de les prolonger dans la durée, et à ma grande surprise, j’y arrive. Dès que j’entends le fameux « cling » qui normalement, m’emporte pour un voyage quelconque, je fais en sorte que les vibrations recommencent, puis s’intensifient de nouveau, je le fais environ trois fois. Au bout de la troisième fois, je décide d’arrêter de jouer ainsi, mais rien ne se passe dans l’immédiat, alors je me dis que c’est bien fait, que ça m’apprendra à ne pas laisser les choses se passer naturellement comme habituellement, je suis un peu déçue et décide donc de me rendormir. Au bout d’une minute ou deux, surprise….je vis bien un phénomène, plus tardivement, et complètement différent de tout ce que j’ai expérimenté jusqu’alors. Je commence par me voir garçon adolescent, parcourant en me cachant, des couloirs d’un château moyenâgeux, je ne sais pas pourquoi je me cache, mais je sais qu’il me faut absolument retrouver une jeune femme qui a besoin de moi pour guérir. C’est la nuit, et j’erre ainsi de pièce en pièce, de couloir en couloir, sous des porches, baignant dans des lumières ocres ou sable, et ne la trouvant pas, je me surprends à penser « mais pourquoi n’utilises-tu pas tes mains pour « scanner » tous les endroits, tu verras, tu la retrouveras ainsi, sans peine, par ses vibrations. Aussitôt j’étends mes bras, et les paumes de la main se mettent à fourmiller, je descends et monte mes bras, et écoute les sensations de mes mains, j’ai l’impression qu’un grand rayon part de chaque main, et scrute ainsi chaque endroit…quand soudain, arrivant près d’une pièce sur ma droite, la main droite se met à vibrer intensément, me montrant que la femme est bien dans cette pièce. Je la trouve enfin, elle est malade, fiévreuse. Deux hommes veulent m’empêcher d’approcher d’elle. On dirait soit des militaires, soit des gendarmes, ils ont un costume d’époque, un peu bleu, blanc et rouge, et un chapeau dont j’ai oublié le nom, à la forme bizarre, comme dans les films de cape et d’épée. Je leur dis de me laisser faire, que je peux la soigner…Ils se moquent un instant de moi, puis me laissent faire. Je passe mes mains tout au-dessus du corps de la femme, partout, et au fur et à mesure que je le fais, des flammes sortent de son corps, qui s’éteignent aussitôt sans la consumer au fur et à mesure que je « scanne » son corps. Je pense « tiens c’est marrant, on dirait que je suis faite pour guérir, et éteindre le feu ». Puis la femme se réveille, guérie, à la grande surprise des gendarmes qui me laissent partir. Je réalise et ressens que j’ai la faculté de guérir, et qu’elle n’est qu’endormie chez moi. Je me demande alors ce que j’ai bien pu faire au fil de toutes mes vies antérieures pour avoir ainsi oublié. J’arrive dans une plaine. Je regarde le ciel et la voie lactée. D’autres personnes se trouvent ici et là. Un feu d’artifice éclate, mais un feu d’artifice bien spécial, qui n’a rien à voir avec ce que nous faisons, nous humains. Magnifique, sans le son, des couleurs et des formes indescriptibles, c’est extraordinaire, je vois comme des gouttes de pluie étincelantes tomber en scintillant, je vois des formes d’animaux se dessiner à l’explosion, je vois des rosaces, des géométries insensées etc… je n’ai jamais rien vu d’aussi splendide, je m’extasie tout en remerciant mes guides, ou mes ancêtres disparus, car je ressens, qu’on me fait un « cadeau », juste à contempler. Par contre, bizarrement, il faut que je me concentre pour rester ancrée à la Terre, car il me semble que si je ne prends pas soin de bien m’enraciner, je risque de partir dans l’espace avec les explosions, et je sais que ce n’est pas le moment. Je ne peux l’expliquer, mais c’est une question de sécurité, et on me souffle à l’esprit cette précaution. C’est donc en visualisant la racine rouge pivotante de mon premier chakra que je me maintiens reliée à la Terre, tout en profitant du feu d’artifice de l’Univers. Je me confonds en remerciements, tellement …tellement,…pfffffff c’est vraiment difficile à raconter et à faire partager. Puis il prend fin, et je reste un instant, admirative, et une pensée m’arrive (de je ne sais qui) me disant « tu as choisi une vie difficile sur cette terre, c’était un cadeau à contempler, pour t’en rassasier, afin de continuer avec une énergie supplémentaire ». Je repars, et marche dans la plaine. Je lève les yeux, et vois au sommet d’une colline, le château où j’étais, envahi à la base par des flammes. Une fumée noire et épaisse se dégage. De la vallée, j’étends mes bras, et tourne les paumes de mes mains, comme je le pressentais, à distance, j’éteins le feu. Je suis estomaquée de ce que je peux faire. Puis j’entends un engin volant, ressemblant à un hélicoptère arriver, et je sais qu’il va s’écraser, alors je crie à ceux qui sont autour de moi de courir s’abriter, et en effet, l’hélicoptère s’écrase et explose. Je prends conscience que je peux aussi prédire certaines catastrophes qui peuvent arriver dans l’heure qui suit. En fait, je réalise qu’on me montre tout ce que je savais faire, et que je suis restée trop longtemps dans le matériel, dans le superficiel, que cela a fait baisser l’intensité de mes vibrations, et que donc j’ai perdu peu à peu ces facultés. J’entends qu’on me dit que maintenant, elles remontent, et je me promets alors de veiller à ce que jamais plus, elles ne baissent. On me dit que cela passe par l’amour inconditionnel que je dois travailler, avec les personnes qui me font du mal. Ce matin, j’ai une énergie débordante, un dynamisme à toute épreuve ! Bon je me dis, en même temps que si je vois un incendie, ou des flammes quelque part, on va me prendre pour une folle si j’essaie de les éteindre rires…mais je vais peut-être bien essayer sur une bougie, ou sur le gaz, pour le fun…mais je doute de mon efficacité, à mon avis, ce n’était qu’une information sur ce que je pouvais faire. Quant à la faculté de guérison par les mains, cela fait un moment que je pressens cela. Déjà, je ressens bien les fourmillements, les vibrations dans certains lieux. J’essaierai sur moi ou sur mes enfants, dès que quelqu’un d’entre nous aura une souffrance quelconque par exemple. On verra bien.

Joëlle.

dimanche, août 7 2011

L'efficacité de la prière.

__Intervention de Babacool sur le forum "Astral Sight", à la suite de mon article sur la prière. __ Lorsqu'une personne fait une prière ou une demande, la personne ne sait pas en réalité ce qui se passe "derrière", on lui a appris certaines choses qu'elle a mises en pratique et qui pour elle fonctionne. Prenons le cas des incantations de chamanes et de la prière du notre Père par exemple.

Je vois beaucoup de gens se plaindre que la prière ne fonctionne pas et que c'est une question de foi et de croyance, pour ceux que la prière a été exaucé il n'y a pas de doute possible même si cela ne fonctionne pas pour tout le monde, ça fonctionne.

Pourquoi pour certains et pas pour d'autres ?

Lorsqu'une pensée dirigée et persistante est émise et que cette pensée a traversé les différentes parties de notre personnalité pour atteindre la partie divine et qu'ensuite les énergies attirées pour la réalisation sont en train de descendre en sens contraire les différentes parties de notre personnalité pour le matérialiser dans le monde physique, ces énergies sont imbibées de toute notre personnalité avec ses défauts et ces qualités, au fur et à mesure que ces énergies descendent. En bout de course, l'intensité et la rapidité d'exécution de la pensée dans le monde physique dépendra des qualités et défauts de notre personnalité.

Prenons un exemple concret, et je vais rester dans le sexuel vu que ce besoin fait parti de l'égo et qu'il faut bien le maitriser. Prenons l'exemple d'un jeune homme qui au détour d'une rue, flash directement sur une belle jeune fille, les premières pensées qui surgissent sont pour l'apparence physique, ensuite l'acte physique.

Ce jeune homme a généré une demande mentale pour avoir des rapport avec cette jeune fille, cette demande parcourt le circuit de notre personnalité. La divinité de chacun par un accord commun rendra possible ou pas la demande.

Prenons le cas ou nos divinités sont d'accord pour des raisons qui leur sont propres, les énergies et les évènements ne sont pas encore mis en place à ce moment là, durant la descente (pensée + énergies) de chaque personne, la demande est imprégnée de nos qualités et défauts. En bout de course, même si la demande est acceptée par notre divinité, c'est notre personnalité cumulée avec les besoins de notre ego qui va accepter ou pas que notre demande se manifeste dans le physique.

Ainsi, même si une demande est acceptée par la partie divine qui a prévu ce qu'il faut d'énergies pour la réalisation, c'est la personnalité et l'égo qui posent problème.

Dans la réalité des faits, si nous prenons ce que je viens d'expliquer pour le cas d'une demande de guérison par exemple. La personne demande une guérison pour elle ou pour quelqu'un d'autre peu importe, l'important c'est d'avoir fait la demande.

- Prenons le cas : la demande est acceptée par la divinité mais la personnalité fait tout le contraire. 1- " je souhaite que mes problèmes de vue s'améliorent et que mes yeux retrouvent leur santé ". - ici le souhait. 2- La divinité attire à elle les énergies réparatrices adéquates et les transfert vers le corps physique. - ici la demande qui prend le chemin inverse. 3- Durant la descente les énergies sont confrontées aux qualités de la personne. - ici les énergies perdent en pureté. 4- La personne se plaint toujours de ces maux par-ci par-là et surtout de ses yeux. - ici les énergies sont figées car la personnalité vient de contredire la prière. Il faut que la pensée soit dirigée et constante. - ici pas de manifestation physique de la demande, la personne c'est elle même qui a refusé de se guérir.

- Prenons le cas : la demande est acceptée par la divinité et la personnalité a la foi. 1- Ok 2- Ok 3- Ok 4- la personne se plaint mais croit fermement être guéri - ici les énergies vont imprégner peu à peu l'ensemble des centres de force de la personne, la personne va se sentir mieux et il faudra plusieurs tentatives aux énergies pour la guérir entièrement. Les cas ensuite sont divers et variés en fonction des qualités et la maitrise de l'ego de chacun.

- Prenons le cas : la demande est acceptée par la divinité et que la personnalité et l'égo soient sous la conduite de la divinité. 1- Ok 2- Ok 3- Ok, ici à ce niveau les énergies perdent peu de leur force car l'accès est un accès direct et n'est plus soumis aux préjugés ni au jugement personnel, la croyance est devenue connaissance. 4- La personne est en contact permanent ou ponctuel avec sa divinité et dans ces cas de manipulation d'énergies la matérialisation est possible.

Comment se matérialise physiquement une demande ou une création physique ? c'est cela qui le plus important.

Lorsque les énergies sélectionnées par la divinité sont attirées et transmises au physique, à ce moment là, ce ne sont que des énergies, un truc que le physique ne perçoit pas et ne percevra jamais vu qu'il est en dehors du physique. Mais que nous pouvons percevoir au niveau du ressenti grâce à nos centres de forces vu que ces énergies apportent tout le nécessaire à ces centres pour réaliser notre demande.

Mais comprenons-nous bien, si vous résonnez dans le cadre du physique, il ne vous sera pas possible d'en saisir la source, parce que le physique est encore en dessous des énergies. Les 12 centres de forces qui sont en chaque être humain permettent tout, de la création physique c'est à dire à la création de la matière, à la manipulation énergétique de cette énergie que le Maître Jésus a baptisée la force Amour.

Mais soyons quand même un peu terre à terre pour que beaucoup plus de personnes puissent nous suivre.

Parce que comme vous les notions de champ gravitationnel, d'électrons, d'atome, de matière etc ... je les connais, les différentes équations, la quantique et la théorie de cordes, etc ... je les connais, et ce que je dis tient soit du miracle ou soit de la magie ou simplement d'une totale imbécilité de ma part.

Le grand problème de la science actuelle, c'est qu'elle a trop développé le mental de l'homme et a laissé le coté spirituel à la religion. Du coup elle n'arrive pas à découvrir autre chose que du physique et s'obstine par exemple à inventer une "force noire" invisible qui permettrait de pallier au manque de cohérence des ses propres mesures sur la masse d'énergie nécessaire qui maintiendrait toute cette belle création qui va du simple grain de sable aux étoiles de notre univers et ne tient donc pas compte des énergies non physiques sauf les électrons et tout l'arsenal des : positrons, gravitons, quantas, etc... inventé pour soutenir une théorie logique de toute la structure de notre univers physique.

Bref...la science se perd dans des notions de logique et des équations qu'elle s'est elle même inventée pour soutenir l'immense structure de l'univers et de ce coté là je suis entièrement d'accord du fait que l'univers n'est que mathématique et pure subtilité mathématique....mais à force elle s'enlise.

Revenons à nos 12 centres de force et prenons le cas du NEW qui est sur ce site.

La manipulation des énergies dans le NEW n'implique pas de matériel physique, on ne génère aucune électricité motrice, mais elle doit bien exister vu que physiquement on le perçoit. Le cas des psiball (concentration d'énergie) et de la Télékinésie sont d'autres exemples.

Pour créer dans la matière il n'est pas utile de connaitre comment est fait telle ou telle matière, comment sont composés les atomes, les différentes compositions atomiques, ou la table des éléments, la matière possède ces propres lois et ce que l'on apporte par la demande c'est l'énergie qui va être la source de la création. Vous n'allez pas vraiment créer de la matière en elle même, mais plutôt vous servir des lois qui déjà existent pour insuffler par votre demande l'énergie qui sera l'origine de la création.

Quand on crée une psiball par exemple, on apporte aucune création physique tangible mais l'énergie qui a créé cette psiball, elle, doit venir de quelque part ? L'augmentation de la sensation de quelque chose dans le creux de notre main nous dit qu'il y a quelque chose mais il n'est pas visible, mais il y a quelque chose.

Est-ce une sensation induite due à notre volonté qui nous le fait croire ? mais alors comment les maîtres de Taïchi peuvent projeter leur adversaire sans contact ? ou que celui qui fait de la pyrokinésie puisse faire brûler une feuille de papier sans flamme ?

Dans tous ces cas c'est la manipulation des énergies.

Mais pour créer de la matière ? comment est-ce possible ?

Bon je pense que cela devient un peu long et j'ai dévié du sujet pour mieux l'expliquer en détail. Je vais m'en arrêter là pour ce qui est de mon développement.

Je rajoute juste que : entre la demande (ou la prière) et la manière dont on s'imagine sa réalisation, il y a de grandes différences, car les impératifs de notre divinité ne sont pas les mêmes que ceux de notre personnalité.

Aussi pour beaucoup, même si la demande est exaucée, même si la personne n'est pas capable ou n'est pas assez consciente, elle ne saura pas que cela s'est réalisé. En plus des distorsions et des préjugés, le fait qu'une prière ne soit pas exaucée fortifie les gens à croire à cette possibilité, du coup beaucoup prient et souhaitent mais leur ego et leur personnalité détruisent tout.

C'est vraiment dommage !!!

Babacool.

L'énergie des arbres.

Ce que je vais vous conter va sembler très banal en regard de tout ce que j'ai pu lire sur ce forum (http://notreexperience.actifforum.com/index.htm) que je lis régulièrement depuis longtemps, et surtout d'une dimension qui n'a pas grand chose à voir avec certains récits merveilleux (parce que lumineux !) mais c'est aussi parce que certains sont allés très loin sur le plan du développement de la conscience que je poste ce petit message, en souhaitant qu'ils sauront m'aiguiller un peu...

Je me suis toujours intéressé aux phénomènes qui sont décrits sur ce forum (je crois même que c'est une des choses qui m'intéressent le plus ici bas) et ma connaissance livresque a été infiniment plus vaste que celle de mes expériences réelles.

Il y a 5 ans toutefois, j'ai vécu un truc étrange qui m'a semblé être le début de quelque chose que je n'ai pas réussi à développer comme je le souhaiterais.

Voici les faits : Me promenant avec mes enfants dans la campagne Provençale, à un moment nous faisons un arrêt car nous avions pas mal marché, mon regard se porte au loin, dans le vague. Il y avait beaucoup de mistral ce jour là, et soudain, une frayeur ! Alors que mon regard s'était porté au loin par dessus deux petits sapins, je vois de la fumée émerger du sommet de ceux ci !!! Une fraction de seconde j'ai eu peur d'un incendie naissant car c'était assez impressionnant, avant de me rendre compte que ce que je voyais n'était à priori rien d'autre que l'énergie qui émanait de l'arbre. Bien entendu, j'ai regardé d'autres arbres aussitôt et au bout de quelques instants, je voyais la même énergie qui sortait des parties supérieures des arbres avec plus ou moins d'intensité. Pour vous décrire ce que je vois, imaginez une cigarette qui se consume sur un cendrier...les volutes de fumée qui tournoient...c'est la meilleure image que je peux donner pour décrire cette perception.

Depuis ce fameux jour, j'ai essayé de reproduire cette expérience, et j'y suis très souvent arrivé en laissant mon regard se porter au dessus des branches. J'ai pu (peut être hâtivement) conclure à la différence de vitalité qu'il y avait entre certains arbres selon l'intensité de leurs émanations. Le plus beau c'est au printemps...lorsque les bourgeons sont en passe d'éclore...on voit comme un jaillissement d'énergie aux endroits où les bourgeons vont éclore alors qu'ils sont encore en gestation !

Mais je ne parviens pas à améliorer cette "vision" énergétique, et parfois même j'ai du mal à la percevoir.

Certains ici seraient ils à même de me donner quelques conseils bien sentis pour que je puisse développer cette perception que j'ai acquise ?

Je précise enfin, que depuis tout petit je vois l'éthérique des gens...j'ai toujours cru que tout le monde la voyait, et ce n'est que vers l'âge de 18 ans environ que j'ai pris conscience qu'il n'en était rien, et que c'était une "faculté" que j'avais. Je me suis entrainé parfois à essayer de percevoir les auras, mais n'y suis pas parvenu....quelques prémices sans plus.

Merci de m'avoir lu, en espérant que vous ne trouverez pas ma "quête" trop dérisoire ni mes interrogations déplacées.

Didier.

Suite reçue, sur ma boite e-mail, ce jour :

Au fait, hier après midi je suis allé me balader au même endroit que cette fameuse fois où j'ai eu cette première "vision", tout seul dans la colline. Eh bien, figures toi que j'ai eu une perception extrêmement nette du phénomène qui est décrit, pratiquement aussi fort que la première fois... c'était super, très parlant. J'étais content de retrouver, de me re-trouver. C'était un peu plus poussif ces derniers temps ces visions énergétiques, en fait, je me suis aperçu que si je mettais trop de volonté à voir, c'était difficile et atténué, pas du tout limpide et puissant, mais hier tout s'est magnifiquement révélé. Et à un moment, je ne sais pourquoi, j'ai été attiré par un jeune peuplier qui poussait, puis par un beau genêt qui était là. Je ne peux pas te dire pourquoi (et je ne vois pas grand monde à qui je pourrais dire cela sans risquer de me faire enfermer) mais j'ai eu envie de saisir ce genêt dans mes bras, et je suis resté 1/4 d'h. comme ça.... j'étais bien, va comprendre ! En rentrant, je me suis posé quelques questions pour voir quel était le symbolisme du genêt, mais je n'ai absolument rien trouvé.



Si tu as des pistes, je suis preneur !



A bientôt.

Didier.

samedi, août 6 2011

La spiritualité est une nécessité vitale pour l'être humain.

Il n'est évidemment pas répréhensible de manifester de l'intérêt et de la compréhension pour les diverses formes de la spiritualité. Ce qui est dangereux, c'est de s'éparpiller, de ne jamais choisir une méthode de travail intérieur pour s'y tenir. La question n'est même pas de savoir s'il faut être catholique, protestant, orthodoxe, musulman, bouddhiste,taoïste ou rien de tout cela. La question – et elle se pose à chacun,croyant ou incroyant – est de s'arrêter sur quelques vérités spirituelles essentielles et de s'appliquer à les mettre en pratique.Car la spiritualité n'est pas un domaine facultatif que l'on peut choisir ou ne pas choisir, comme on le fait pour d'autres disciplines:les langues, l'art, le sport, etc. Étant donné la structure de l'être humain, la spiritualité est pour lui une nécessité vitale, et tant qu'il ne prendra pas conscience de cette nécessité, il va se jeter dans des activités absurdes et dangereuses pour lui-même et pour les autres.Tel qu'il est construit, il a un besoin essentiel de trouver une nourriture pour son âme et son esprit.

Prendre goût au travail spirituel

Ne laissez pas passer une seule journée sans vous lier au Ciel, méditer,prier... Car rien n'est plus important, plus salutaire pour vous que de prendre goût aux activités spirituelles. Plusieurs fois par jour,arrêtez-vous pendant quelques minutes, et tâchez de trouver en vous-même votre point d'équilibre, votre centre divin... Vous commencerez alors à sentir que, dans toutes les circonstances de la vie, vous possédez au-dedans de vous un élément éternel,indestructible... Et même si vous n'en retirez aucun bénéfice dans le plan matériel, intérieurement vous devenez plus libre, plus fort, plein d'assurance, vous planez au-dessus des évènements. Ce travail spirituel est la seule richesse, le seul bien qui soit vraiment à vous. Tout le reste peut vous être enlevé : seul votre travail est à vous pour toujours.

Travail spirituel et réalisation

Celui qui décide d'entreprendre un travail spirituel doit comprendre que ce travail concerne une matière extrêmement subtile qui échappe à tous nos moyens d'investigation habituels. Mais les résultats qu'il est possible d'obtenir dans le plan spirituel sont tout aussi réels que ceux qu'on peut obtenir dans le plan physique. Autant, dans le plan physique, il est réel que vous sciez du bois ou que vous préparez un potage, autant dans le plan spirituel il est réel aussi que vous déclenchez des forces, orientez des courants, éclairez des consciences. Un jour ou l'autre les résultats sont là, mais ils se produisent d'abord dans les plans subtils. Celui qui ne connaît pas ces lois s'attend à voir tout de suite les résultats concrets de son travail intérieur. Comme il ne voit rien venir, il est déçu et cette déception peut l'amener à détruire ce qu'il a déjà construit. Mais vous, maintenant, vous savez,et vous ne vous découragerez pas.

L'essentiel, c'est l'effort personnel.

Oui,mes chers frères et sœurs, si seulement vous connaissiez l’importance,la splendeur du travail spirituel, vous ne laisseriez pas passer une journée sans vous concentrer, et plusieurs fois, avec toute votre pensée, tout votre cœur, toute votre âme …

… Tous les Initiés sont unanimes : l’essentiel c’est l’effort personnel, l’effort sincère,l’effort de la volonté, de la pensée, de l’âme, de l’esprit concentrés sur les meilleurs buts.

Omraam Mikhaël Aïvanhov.

La petite chatte malade.

Je viens ici vous raconter une petite histoire qui me tient à cœur... Il y a chez mes voisines une petite chatte sauvage, elle est mimi comme tout, toute noire, mais ne se laisse approcher de personne, pas même de ses maîtresses... Dernièrement, j'ai remarqué qu'elle avait attrapé une maladie de la peau, elle perd des plaques de poils et sa peau est toute purulente, c'est assez impressionnant, pour moi, c'est la gale... Je me sens inquiète car j'ai mes enfants ainsi que trois chats et puis, ça me fait mal au cœur de la voir dans cet état et complètement délaissée de ses maîtresses... Hier, en revenant d'avoir conduit mes enfants à l'école, la petite chatte est venue vers moi, j'étais étonnée puisqu'elle ne se laisse jamais approcher, elle est venue se frotter à mes jambes et a réclamé des doudouces , je lui ai un peu gratouillé la tête et je peux vous dire qu'après, je me suis lavée les mains au moins 15 fois elle me regardait droit dans les yeux comme si elle me connaissait et savait qui j'étais... J'en ai parlé au soir sur msn avec Astreau qui m'a dit qu'elle sentait que je pouvais faire quelque chose pour elle, alors le soir même, j'ai essayé de la guérir à distance, en la visualisant en bonne santé, en appelant l'Univers et en lui demandant l'énergie nécessaire pour elle... Ce matin, je l'ai attirée avec des croquettes dehors et me suis assise à côté d'elle, elle était effrayée, comme d'habitude, mais la faim était plus forte que la peur, elle est restée, et donc, j'ai refait pareil, j'ai demandé à l'Univers l'énergie pour la guérir, je l'ai visualisée toute lumineuse et en pleine santé, avec des beaux poils et une peau saine... J'ai ressenti pas mal de picotis dans les mains ainsi qu'à la tête, en tout cas, ce que j'ai remarqué depuis hier, c'est que sa peau n'est plus purulente, elle est plus blanchâtre, on dirait que ça cicatrice, je suis contente, j'espère arriver à la soigner... J'essaierai encore de l'attirer avec des croquettes et je le referai, on verra...

Petite_Elfe du forum "Enfants des étoiles" :

http://enfantsdesetoiles.forumactif.net/

Mon rêve conscient avec sortie du corps.

Ce rêve est un peu long à raconter alors je vais essayer d'abréger un peu ! Début du rêve : J'étais avec une amie (très complice) dans un couloir d'une sorte d'école où une femme tentait de nous "poser problème" (on va dire) mais nous n'avions aucune crainte par rapport à elle car nous nous sentions irréprochables ! (lol ! ça me fait rire quand j'y repense !). Puis nous sommes allées nous coucher dans le même lit (dans la vie je dors avec mon mari ! lol ) et au moment de m'allonger je m'aperçois que j'ai un flambeau allumé dans ma main gauche ! Je le secoue alors pour l'éteindre et comme je n'y arrive pas, c'est mon amie qui le saisi et qui l'éteint en le secouant juste un peu ! (comme elle avait fait pour éteindre le sien !). Il fait alors tout noir dans la chambre et c'est là que je prends conscience que je suis en train de rêver et je commence à me re-mémorer ma vieille peur du noir en me disant qu'à elle seule cette pensée risque de faire virer mon rêve en cauchemar ! (j'ai souvent rêver de panique dans le noir à l'adolescence). C'est alors que j'entends "télépathiquement" une affirmation à dire : "JE N'AI PAS PEUR ! J'APPARTIENS À LA LUMIERE ! " (je précise que c'était il y a environ quatre ans et qu'à ce moment là l'expression "appartenir à la lumière" ne m'étais pas familière, bien que je m'ouvrais à la spiritualité depuis un peu de temps déjà !). Et dès que j'ai prononcé cette phrase, je me suis sentie en confiance (mon rêve n'allait pas virer en cauchemar ! lol !) et j'ai aussitôt senti mon corps d'énergie se soulever de mon corps physique pour sortir par le chakra coronal ! La sensation était très nette comme un fourmillement en cercle sur le sommet du crâne ! (j'avais lu "Le pouvoir du moment présent" d'Eckart Tollé quelque temps auparavant et j'avais appris à sentir mon corps d'énergie sans pour autant arriver à faire une sortie de corps !) . Et là ! je me retrouve à sentir ma tête toucher le plafond (en rebondissant un peu comme l'aurait fait un ballon d'hélium !). Je me sentais légère, libre et tellement JOYEUSE ! J'avais compris que je n'étais plus prisonnière de mon corps physique et je me suis dit que ce que je voudrais à présent, je le pourrais ! Je n'ai pas regardé mon corps physique dans le lit pour ne pas risquer de me réveiller pour de vrai en le voyant ! (car je suis tout le temps restée bien consciente d’être en train de rêver !). J'ai souhaité me poser pour voir où j'étais exactement et aussitôt il ne faisait plus nuit ! j'étais maintenant debout au sol (que je sentais bien sous mes pieds) et je ne cherchais surtout pas à regarder si mon corps était visible ou pas (toujours pour ne pas me réveiller trop tôt !). J'avais envie de profiter à fond de cet état pour voir et faire un maximum de choses ! J'ai commencé à regarder les murs de la chambre et ils étaient d'une couleur violette/fushia/fluo absolument MAGNIFIQUE ! De plus ils étaient décorés comme les murs d'un château luxueux. Mon regard avait encore "zoomé" sur des détails qui m'apparaissaient tellement réels que j'en étais complètement émerveillée ! C'est alors que je me suis aperçue qu'un des murs de la chambre était resté en parpaing gris brut ! En regardant ce mur je n'ai pas pensé pourquoi il était ainsi alors que les autres étaient achevés et richement décorés ! Non ! en voyant ce mur j'ai tout de suite pensé : "CE MUR ! JE PEUX LE TRAVERSER !" Et je n'ai pas eu le temps d'hésiter à me dire j'y vais ou j'y vais pas ? car mon corps s'est élancé à travers le mur comme "téléguidé automatiquement ". Alors là je ne vous dit pas la sensation EXTRA JUBILATOIRE que j'ai ressenti ! lol ! C'est indescriptible ! J'ai senti la matière du mur un peu comme un fourmillement dans la partie haute (région du Cœur) de mon corps (ou comme un très léger coton comme le ressent Francis dans ses expériences ! De ce côté du mur, à ma gauche, je me retrouve juste au bord de la mer (la plage m'est familière). Je vois qu'entre la mer et la plage, il y a plusieurs murs très épais (5 ou 7 environ) avec des créneaux (comme dans les châteaux) et espacés de plusieurs mètres les uns des autres (comme pour ralentir les vagues !). Je vais me poser sur les murs en me déplaçant comme si j'avais des bottes de sept lieues ! (ou comme un cosmonaute pour dire comme Francis ! lol !) et bien qu'ils soient très espacés, je saute de l'un à l'autre sans aucune peur de tomber ! Je sais que si je veux, je peux m'envoler au dessus de la mer mais comme il fait encore un peu nuit de ce côté là et que je suis bien décidée à voir un maximum de choses avant mon réveil, je décide d'aller plus vers la droite ! De ce côté droit, il y a une ville éclairée et il commence à faire jour ! J'avance vite sans me fatiguer et je regarde tout ce que je peux en essayant de ne pas en perdre une miette ! Je trouve que tout est tellement beau !!! (pourtant ..... j'ai encore les images en tête et ...... c'était assez ressemblant à notre réalité "3D" mais mon état d'esprit était tel que je m'émerveillais de tout !!!). Encore une fois tout me semblait familier, comme si j'étais déjà venue là d'autres fois ! A un moment j'ai croisé un train puis un deuxième juste à la suite. Ils sont passés à grande vitesse et m'ont frôlée mais.... même pas peur ! lol ! Je regardais les feuilles des arbustes qui longeaient la voie ferrée ! Je les voyais avec une telle précision que j'aurais presque pu les compter ! Toujours le cœur en joie, je m'élance dans une grande avenue, très très large bordée de maisons avec jardins en fleurs (que je trouve MAGNIFIQUES !). C'est à ce moment là que je m'interroge sur la visibilité de mon corps ! Je me demande si quelqu'un était derrière une fenêtre est-ce qu'il me verrait passer ??? Je préfère quand même ne pas regarder mon corps pour vérifier ! mais je me concentre pour essayer de le "ressentir". Et j'arrive à ressentir une petite "pointe sensible" côté rein gauche (là où j'ai "dégusté" à cause de coliques néphrétiques !). Peu après je suis surprise de devoir passer sous un grand arbre alors que l'avenue est si large !!! En passant en dessous je vois que c'est un sapin ! Je vois ses aiguilles avec une incroyable précision et je continue d'avancer jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de maisons. Je vois que si je continue dans cette direction, je serai dans une grande forêt au-dessus de laquelle le ciel est très chargé, alors je m'apprête à prendre une autre direction, mais j'ai le pressentiment que je vais me réveiller et que (hélas ! sniff) je n'aurais pas le temps de visiter davantage les lieux. Et c'est ce qui est arrivé ! mon mari a bougé de telle manière que ça m'a réveillée ! et tout en me réveillant je sentais très nettement mon corps d'énergie réintégrer mon corps physique en passant par le même endroit d'où il était sorti ! (soit le sommet du crâne !). FIN du rêve et de la sortie de corps ! Voilà ! c'est un peu long et pas très bien écrit et j'aurais pu abréger davantage mais le souvenir est encore tellement net que finalement j'ai presque tout raconté ! lol !

"Joie" du forum "Enfants des étoiles" : http://enfantsdesetoiles.forumactif.net/

vendredi, août 5 2011

L'écriture automatique par téléphone avec Kenaz.

Voilà mon expérience avec Francis :

Intéressé pour expérimenter l'écriture automatique, j'ai contacté Francis qui m'a d'abord suggéré de faire un essai. Chose dit, chose faite, samedi matin je tente le coup devant ma feuille blanche, sans penser, en attendant la moindre vibration du stylo. Pas franchement de vibration ! par contre, il m'est venu dans la tête des mots, des bribes de phrases. Ce coup ci, j'ai décidé de me dire que cela n'était pas le fruit de mon imagination ou de mon inconscient (Chose que j'avais jusqu'ici coutume de faire). Je me suis « cru ». Et je me suis dit que je n'était pas fait pour écrire, mais pour « entendre ». Peu importe, contact avec Francis qui semble m'approuver et rendez vous pris pour se joindre au téléphone le samedi 16 au soir. On était quasiment sûr qu'une ou plusieurs âmes voulaient entrer en contact. On allait bien voir. On allait « travailler » comme il dit !

Francis d'un coté au téléphone, des « entités » quelque part et moi au milieu qui essayait de comprendre les uns et les autres. Pour moi, c'était la première fois que « j'écoutais » ainsi. Et il y a eu du monde à l'autre bout du téléphone astral. Alors, en bon habitué de la chose, Francis posait des questions, moi, je devais recevoir la réponse et la redonner à Francis. Il joue ici le rôle de journaliste. Moi j'étais comme le caméraman et le preneur de son !! (Ca tombait bien, c'était ce que je voulais faire petit !!) Et quand il n'y avait pas de réponse, on insistait pas. Pas de prise de tête, si ça vient ça vient... Pas d'auto-pression ! Mais, toujours du respect, de l'amitié, de la compréhension dans ce dialogue en « vidéo astral-conférence »..

Mais en avançant, petit à petit, on a compris un peu plus l'affaire. Une affaire très ancienne. En finalité, un certain nombre de ces âmes ont, semble t-il, accepté de partir vers leur devenir, et de me rendre une certaine liberté par la même occas.

Voilà juste un exemple de « jeu » dans l'astral. Il n'y a ni technique ni truc. Juste de la PERCEPTION et du RESSENTI. Pas de mental.

Je ne m'exprime pas ici pour épater ou me faire mousser. C'est juste un témoignage qui vaut ce qu'il vaut.

En vrac, excusez moi :

Oui, c'est bien du domaine du ressenti. Parfois, la réponse semblait provenir vraiment au delà de mon imagination. Parfois je doutais de moi. Mais bon, avec au moins l'appuie de Francis pour te dire, "ce n'est pas grave" ou "pas de problème". Je débutais dans ce sport alors quand on commence à jouer du piano, faut pas rêver s'attendre à du Beethoven.

Les questions étaient parfois du type oui/non, et parfois beaucoup plus précises attendant une info plus concrète. Francis ne me posait pas de question, il s'adressait directement à l'entité. Ou plutôt à son représentant car elles étaient nombreuses. Et je les ai bien ressenties. Comme si elles étaient à coté de moi. Mais je les voyais floues sans pouvoir les détailler.

Je ne suis pas un novice en matière d'entités. J'ai fait bcp de radiesthésie et de la géobio. Avec des "formateurs" branchés entité, j'en connais le danger indirect, je connais la difficulté, et si je les détecte facilement en radiesthésie, j'avoue que là pour la première fois je les ressentais ainsi....

Si j'ai remarqué qu'il y en avait plusieurs, c'est parce qu'elles étaient nombreuses dans ma vision ou ressenti ; parfois des morceaux incohérents, parfois un mot ou une petite phrase bcp plus cohérente.

Oui, il paraissait évident qu'une entité allait nous causer. C'est pas Francis qui l'a décidé, c'est moi qui l'ai reçue sur ma feuille avant la séance. Mais j'ai vite vu que le gribouillage n'était pas mon truc et que j'étais poussé à simplement écouter...

Quand à la "liberté" qu'on m'a rendu, le mot liberté est un peu fort ou très léger suivant ce que l'on croit ! Disons que mon corps causal a bougé. une tache sombre a peut être été enlevée. Ce qui va un peu moins me pourrir la vie au sujet d'entité qui se forment automatiquement au niveau de ce corps. C'est ce qu'on appelle l'auto-envoutement. Le cas d'envoutement à 99% en fait. Créé par soi même et parfois à partir de causes très sombres et très anciennes. Mais cela on le verra avec le temps; à l'usage.

Quand à savoir si j'ai fait cela pour le fun ? Ou ce que j'en attend ? Rien ! Je verrai si j'aurai quelque chose ! Par contre, le VRAI plaisir que je récupère dans l'histoire, c'est celui de me dire que J'AI PU RENDRE SERVICE A MON PROCHAIN, même sous forme immatérielle !!! Et ça, les gars, ça me fout la larme à l'œil.

Kenaz.

L'expérience avec Kenaz a été pour moi aussi intéressante que celle avec Delhfe, mais ce dernier est plus "réservé" et n'a peut être pas la facilité de Delhfe pour l'écriture. Je vois, par contre, qu'il répond volontiers, donc...

Je ne suis pas blasé, chaque intervention est, pour moi, nouvelle, elles ne sont jamais identiques et m'instruisent un peu plus à chaque fois. Je m'émerveille toujours comme un gamin et l'humour est toujours au rendez-vous.

Francis.

jeudi, août 4 2011

Adeline, le prana et l'aura éthérique.

Bonsoir ! bonne journée Francis ? Moi très bonne ! Et merci à toi ...

Oui je sais, "mais pourquoi ?", car j'ai pensé à toi aujourd'hui ! C'est mon deuxième essai sur la vision de l'aura.

Début de l'exercice avec une petite méditation :

"Le corps est le véhicule de l'âme". Lors d'une soif (ou autre), le cerveau dit à notre bras de se lever pour boire ... Mais qui dirige notre cerveau ?................Notre conscience ?

Je vois un joli saule pleureur (oui j'ai pensé à toi !). C'est l'heure du déjeuner, je m'isole près d'un champs et d'un potager. Le temps s'y prête bien, pourquoi ne pas en profiter ? ! Je m'assoie donc, et je médite. Je fais le vide en moi et je regarde ce saule. Je place mon regard dans le vide, une vision d'une matière grisâtre apparaît autour de l'arbre (J'ai eu l'occasion la première fois d'essayer sur des branches mortes d'un arbre vivant et c'était moins marqué). Et lorsque je regarde et que je déplace mon regard, cela disparaît. J'ai comme entendu une voix "tu ne regardes pas avec les bons yeux". Je me fais la réflexion : " Forcément ... "

J'essaie maintenant avec ma main, n'attendant rien, je reste "élève", je reste observatrice. Je place alors ma main à environ 30 à 50 cm de la vision.
** Lorsqu'on regarde le doigt même, je n'arrive pas à voir, et je me dis que si je ne pouvais pas voir avec mes yeux physiques, je ne devais pas poser mon regard sur la main. Je n'insiste pas.
** Je place alors mon regard dans le ciel, faisant le vide, comme je l'avais fait pour l'arbre. Le ciel était bleu, mais avec quelques nuages. Je distingue bien les "ronds" que je qualifierai "d'inactifs" car ils ne font que de descendre petit à petit sur ma vision, comme une goutte tomberait sur une fenêtre. En revanche, j'ai remarqué des "vermisseaux", des petits asticots qui gesticulent plus ou moins vite. Ils sont réceptifs aux mouvements, on pourrait les bousculer. (ce que j'ai fait) J'ai vu une éclaircie, le soleil qui "tape" sur mon doigt et j'observe attentivement ces asticots, leur réaction est presque instantanée. Mon doigt absorbe certains de ces vermisseaux qui sont devenus plus brillants et plus agités. Stupéfaction, et c'était tellement joli, je décide de continuer, je reste à l'écoute et attentive.

Au bout de 10 petites minutes, je vois cette couche grisâtre sur ma main. Je décide donc de m'y pencher un peu aussi, sans bouger mes yeux, je me concentre juste plus sur où je veux voir et non jouer avec les petits asticots.

Je vois alors une fine couche bien délimitée, bleue foncé, lumineuse. Je trouve ça joli, je continue, imperturbable. Je reste concentrée quand je vois une autre couche, s'ajouter à ce joli bleu. Cette fois, cette couche n'est pas "délimitée" elle n'est pas nette. C'est un joli bleu violet ... Indigo ...

Là, étonnée et super jolie, j'ai comme eu une fissure sur le haut de ma tête, j'aurai pu m'imaginer à la place de la tour Eiffel, mais c'est ma tête qui aurai fait la lumière qui la surplombe ! En même temps, "bizarre" mais de l'autre, une lumière, une chaleur qui sort du haut de ma tête, qui m'apaise. J'ai eu envie de pleurer, ma poitrine s'est compressé, et je me dis que j'aurai peut être dû ? Un bien être indescriptible, même le pouvoir des mots ne parvient pas à m'aider. J'ai un peu mal à la tête au niveau de mon 3ème oeil. J'ai l'impression vraiment d'avoir VÉCU quelque chose. ET CA FAIT DU BIEN !!!

Adeline.

Une expérience nocturne.

Bonjour Francis,



Je tiens à te raconter ce qui m'est arrivé cette nuit, j'en suis pas encore revenue, et je te le dois pour partie, car en effet, tu m'as donné un jour une phrase tu sais, que j'avais bien ressentie m'être destinée et appropriée, et tu m'avais interpelée en me disant qu'il fallait maintenant que je fasse appel à ma partie divine. J'ai retravaillé sur mes chakras mais toujours en finissant par ta phrase, appelant ma partie divine à m'intégrer complètement etc...et je te joins le récit de ce qui m'est arrivé cette nuit, et il me ferait plaisir que tu me dises ce que tu en penses...je t'en remercie d'avance et t'embrasse.



Joëlle.


Nuit du 4 au 5 Mars 2009.

La veille et l’avant-veille, séance d’hypnose avec Eric, et de pendule avec Guy. Avec l’un évoqué, un problème récurrent articulaire alors que tout va bien. Avec l’autre une question sur un symbole : le "A" stylisé qui revient tout le temps dans mes visions, gravé dans une pierre.

Je suis endormie. Je rêve. D’un coup je sens que je change, je ne suis plus ni dans la réalité ni dans le rêve, sur une autre fréquence vibratoire, ni éveillée, ni endormie. Je suis derrière un bureau. Tout autour, s’entassent des foules de statues, statuettes, et autres de style égyptien, un vrai trésor. Sur le bureau, une seule statuette de forme rectangulaire, mais façon tiki polynésien. En bois foncé, deux gros yeux globuleux, une énorme bouche dans un sourire avec des dents. J'ai quelqu’un en face de moi, au milieu des trésors égyptiens. Je lui dis, "tu vois cette statuette devant moi, et bien, contre toute apparence, elle est égyptienne". La personne en face me rétorque rieuse, "tu vois bien que c’est impossible". Je lui réponds que si, et que je vais lui en donner la preuve et que cette statue, elle, a contrario de toutes les autres entassées ici et là, me parle. Là, je m’adresse droit dans les yeux globuleux de la statue, et lui demande "es-tu Imotep ?" Rien ne se passe, rien ne bouge. Je m’adresse de nouveau à elle "es-tu Amenoteph ?" et là, la statue se divise en deux, sa tête se tourne vers moi, et nous entendons "oui c’est bien moi", et là, nous ressentons un frisson, une chair de poule, les fameuses vibrations qui arrivent lorsqu’on est connecté à l’Univers, et en diapason. Reconnaissance instantanée, de ce qu’il est, de ce que je sais dorénavant "être ma partie supérieure, divine, une réincarnation ?" En tout cas, il fait partie de moi, on se connaît, d’une certaine façon, il est moi ou mon protecteur. Là je sens être dans une autre dimension encore, une autre fréquence vibratoire. Puis c’est la statuette qui se met soudain derrière le bureau, comme un médecin qui donne un consultation, et je suis sa patiente. Le reste disparaît. Je lui explique que je sens que quelque chose ne va pas dans mon corps, alors que tout va bien dans mon esprit, et que j’aurais bien besoin d’un nettoyage, de réflexologie ou de quelque chose dans mes autres corps que physiques, mais que je ne sais que faire ni à qui m’adresser, et je lui demande s’il peut faire quelque chose pour moi. Bien entendu, j’ai à peine terminé ma question, qu’il sait déjà la fin, et me répond immédiatement. Comme les témoignages que j’ai pu lire, comme mon vécu, je sens qu’il sait déjà tout de moi, passé, présent, avenir, qu’il lit en moi, et que je n’ai pas besoin de rien détailler, ni de finir mes phrases, nous conversons/dialoguons autrement que par la parole, en bien plus vite que la pensée, comme les messages que je peux recevoir parfois de mon ange gardien. Il me répond "oui, je peux faire quelque chose pour toi". Je rajoute alors une question "et pour le fait que je n’arrive pas à perdre mes quelques kilos excédentaires, alors que je ne mange pas grand-chose", bien entendu, à peine la phrase terminée, la réponse fuse, et il arbore alors un sourire à demi-amusé en me disant : "quand tu auras fini de jongler d’un régime à un autre, en ne faisant que de petits écarts minimes selon toi, en adoptant une alimentation saine et régulière, sans écarts, alors tu maigriras naturellement". Puis il m’installe sur une table, je suis nue, simplement revêtue d’une blouse de papier blanc, et je me demande même comment j’ai pu l’enfiler, il n’y a pas de bouton, ni d’ouverture. Je le vois prendre un vieux récipient de terre, genre mortier, et y écraser une pâte noire gluante, épaisse et collante, me voyant le fixer bizarrement, de nouveau amusé, il me demande si je veux en savoir la composition. Je refuse aussitôt, pressentant, que cela n’a pas d’ importance, et que je ne comprendrais pas certains ingrédients. Il amène un genre de potence à perfusion très simplifiée, avec un rectangle au lieu de la poche à perfusion, où il met sa mixture. Il place le tout, au milieu de mon corps, au-dessus, mais ne me relie à ce récipient par aucun tuyau, la mixture est au-dessus de mon corps sans rien toucher. Il me prévient : "je t’avertis, cela risque d’être un peu désagréable et douloureux". Et là je le supplie "oh non s’il te plaît, j’ai déjà tellement souffert à tous les niveaux, ne peux-tu adoucir ce qui pourrait se produire". Lui : "d’accord, je peux te mettre dans un état proche du sommeil". Et là il commence des passes magnétiques au-dessus de moi, et je me sens sombrer dans un autre état, proche du sommeil, mais consciente de ce qui se passe, comme anesthésiée légèrement. Je vois ses yeux se mettre à étinceler et je vois des ronds tourner dans ses yeux, qui sont bleu-nuit, mêlés de vert-nuit, en fait un mélange de nuit lactée, avec un peu de vert-bleuté, tout scintille, vibre et tourne comme les chakras. A noter que dans nos échanges, je me sens complètement maître de mes pensées et demandes, je les prévois comme quand on parle normalement, et que je sais et sens bien que lui, est extérieur, que je n’ai aucun contrôle et je ne peux être l’auteur de ses paroles. J’ai la confirmation et la conviction intimes qu’il fait partie de moi, mais a son "être", et qu’il m’apprend, qu’il me soigne. Ce n’est pas moi, même s’il fait partie de moi. Bref, je sens que quelque chose d’incroyable se produit alors, que je vais essayer de décrire. Je me sens traversée longuement, de la tête aux pieds, par une onde vibratoire, qui ondule de façon un peu sinusoïdale, comme une vague puissante, une onde, qui ondule, vibre fortement et a même un son genre IRM, qui me secoue de spasmes, au fur et à mesure qu’elle traverse mon corps, tout en profondeur. Tout y passe, le squelette, les organes, mes différents corps. Comme si je passais sous un rouleau compresseur, doucement, mais qui ne m’écrase pas, j’en sens le poids au fur et à mesure qu’il passe, mais il me nettoie, range ce qu’il trouve, s’attardant là où ce n’est pas "en ordre". Lorsque l’onde arrive au ventre, je suis prise d’une douleur violente à gauche, et je mets mes mains sur le côté gauche, sous le cœur, comme si l’organe présent là, dessous, était sorti, et que l’onde travaillait à le ranger dans son emplacement, d’ailleurs je le sens dépasser de mon corps, et je le sens se ranger doucement, c’est très désagréable et un peu douloureux. Une pensée m’assaille alors "tiens j’ai toujours pensé que pendant ma première césarienne, on m’avait mal remis un organe"…Puis je l’entends me dire, "c’est fini".. et je suis conduite dans une salle de convalescence, où je rencontre plein d’êtres, qui viennent de subir la même chose que moi, ils s’approchent tous de moi, et je sens qu’ils lisent en moi, et soupirent, Wouah !!! ce qu’elle a souffert, moi je suis soignée pour un nodule dans la gorge, et moi etc. et moi etc...un brouhaha de pensées/paroles qui fusent. Puis on entend, stopppppppp !!! comme pour faire taire ces voix, et je suis conduite vers la sortie…et là, je vois mes deux grand-mères, qui mettent leur sacs à main, manteaux, et s’en vont, je saisis au vol, de façon lointaine, un genre de pensée "on l’a bien veillée, c’est fini, on peut partir, et elles me disent au revoir, leur travail de veille est terminé. On me dit d’ouvrir les yeux, je les ouvre vraiment, je me retrouve allongée sur le dos, comme j’étais sur la table, apaisée, allégée, secouée, mais consciente que quelque chose d’extraordinaire, d’indescriptible vient de se passer. J’ai vraiment subi un soin, un nettoyage, un rangement, …Je suis émerveillée. Je me sens bien, réparée, je n’ai mal nulle part.

Cette journée, je suis encore sous l’emprise du choc émotif, je me demande si le fait que je sois tout le temps attirée comme un aimant par tout ce qui est égyptien a un rapport avec tout ça, et soudain, un éclaircissement m’arrive, moi qui voyais un "A" tout le temps, je suis sûre maintenant que ça a un lien avec Amenoteph, c’était un signe qu’il allait arriver…cette découverte me remplit d’une joie indescriptible et d’une confirmation intérieure.

Joëlle.


Akhenaton

La vache ! je viens de pousser un cri, je suis tombée sur une photo de Akhenaton qui est aussi Amenoteph, et je vois exactement ce qui revenait dans mes rêves, le fameux "A" gravé, même pierre, même couleur touttttttttttt, ptinnnnnnnnnnn.... regarde dans sa tignasse à droite j'en suis toute retournée !!!...Cette partie de droite revenait sans cesse dans mes visions, et je ne savais d'où ça venait !!!!!!!!!!

A noter aussi que je me suis dit, que cela avait dû avoir un retentissement sur mon aura ou mes autres corps subtils, alors j’ai observé mon éthérique, il a minimum doublé voir triplé en épaisseur, de 1cm et demi environ il faisait ce midi presque dix cm de large, et est plus vif, plus étincelant…



C'est bizarre je suis toute émue à l'intérieur de moi, depuis cette nuit...toute bizarre...

Bises, Joëlle.

mercredi, août 3 2011

Le passeur d'âme.

                                                                                                                                                              
Voici un texte que j'aime particulièrement...

"Tous ceux qui vont bientôt quitter leur vêtement de chair, ne veulent ni philosophie, ni dogme. La seule chose dont leur cœur à soif, c'est d'amour… d'amour sans "peut- être", ni "demain", ni "oui mais".
  L'amour dans l'instant présent, voilà le seul trésor qui, en vérité, puisse jamais compter désormais pour eux. Cet amour-là est la seule expression vraie, pure et indélébile de la spiritualité.
  La spiritualité ! Quelle force, quel secret, se cachent donc derrière ce mot ? Il y a autant de croyances que de religions, autant de fois différentes, que de moines ou de dévots… mais la seule spiritualité qui soit un parfum pour l'âme et le corps est si peu parente avec tout cela !
  Elle est l'expansion de tout l'être qui s'offre en cadeau et se met au service du Divin qui vit en lui. Elle est l'art de savoir regarder l'autre là où son âme est la plus belle. Elle est cette qualité de savoir-faire qui aide l'autre à comprendre sa vie, à la faire germer puis à la quitter lorsque l'heure est venue. Le reste, les noms, les règles et leurs cortèges de grands principes, ne sont plus dés lors que fioritures et portes d'accès au dédale du mental.
  Les jours qui précèdent ce que vous appelez "la mort", les instants même qui la voient venir, doivent retrouver cette qualité sacrée qu'ils n'auraient jamais dû perdre. Sacrée pour celui qui part, sacrée pour celui qui accompagne.
  Un souffle d'amour qui ne s'incarne pas n'est que demi-mesure et par le mystère de la mort, voyez-vous, une âme peut plus, c'est-à-dire accoucher d'elle-même… en dedans et au-delà du fleuve.
  Tout être qui en guide un autre sur ce chemin devient ainsi son accoucheur et ce ne sont pas d'abord, pas seulement, des mots que l'on attend d'un accoucheur, mais une chaleur qui est comme un fil d'Ariane et un savoir donner qui ouvre toutes grandes les portes de la confiance. Etre une main qui se pose là où elle doit se poser et une oreille plus qu'une langue. Voilà le secret s'il en est un. Il n'y a rien prouver, rien à inculquer, juste à éclairer, s'il en besoin, pour aider à la déchirure des multiples voiles qui séparent l'être de lui-même.
  Le passeur d'âme, souvenez-vous en, n'est jamais vêtu que de soleil, voilà tout ce qu'il faut savoir…"

Auteur anonyme.



Il n'est pas inutile de souffrir.

Il n’est pas inutile de souffrir, Car la souffrance est un moyen De percevoir les limites de notre sensibilité. Quiconque ne souffre pas, ne peut savoir Ce qu’il est capable d’accepter, de supporter, De subir, d’aimer par exemple. N’est-ce pas souffrir quand on ne sait pas aimer, Quand notre cœur n’est pas entendu Ou ne sait pas vibrer assez fort pour l’être? Le soleil brille, il n’est que luminosité; Aimer le soleil, c’est le respecter, C’est l’approcher avec délicatesse, avec prudence. Le soleil dans toute sa splendeur peut nous réchauffer, Comme il peut de même nous brûler. Ainsi en est l’amour. La nuit, lorsque le monde du jour s’endort, Quand le monde nocturne se réveille, Pour qui veut l’entendre, belle est la nuit, Le printemps pour un cœur sensible, Car seul le silence de la nuit permet d’entendre Ce qu’il nous est offert d’entendre. La nuit, c’est la peur de l’inconnu Et c’est la joie de découvrir toutes les merveilles Occultées le jour. Ainsi en est l’amour. Aimer le jour, c’est banaliser les appels du cœur, Ce n’est plus voir ce que l’on côtoie quotidiennement, C’est confondre les bruits que sont les battements du cœur Avec les bruits de la vie. L’amour en est ainsi banalisé. Il n’offre plus de beauté. Alors, aimer la nuit, c’est entendre les battements d’un cœur, C’est découvrir ces mille frémissements Que l’on n’entend que dans la sérénité, le calme, La libération de soi, C’est s’ouvrir au grand appel du silence, C’est être seul avec soi-même, ses désirs, sa passion, L’enrichissement perpétuel.

Il n’est pas inutile de souffrir, Car la souffrance n’est pas une fin en soi, Mais la lumière éclairant le nuit de notre existence.

Auteur ???

Accepter et s'éveiller.

En écho à l'article proposé par mon ami Francis sur son blog : l'Acceptation...je propose à mon tour ma version de l'acceptation. Comme rien n'arrive par hasard, ce souvenir m'est revenu en mémoire, ne demandant qu'à s'exprimer ici.

Muriel

Je me souviens que je me promenais avec un groupe d'amis, nous nous dirigions vers la sortie d'un pré situé juste au-dessus de chez mes parents. Nous marchions parmi la foule, des groupes comme nous de plusieurs personnes. La terre était détrempée par la pluie et le jour commençait à décliner. Soudain, je vis à quelques mètres de nous, une personne s'enfoncer dans la boue jusqu'aux chevilles. Un ami l'aida à sortir extraire son pied et à peine fut-elle sortie d'affaire qu'une autre personne d'un groupe voisin s'enfonça elle jusqu'aux genoux, puis une autre encore jusqu'aux hanches ! A peine ai-je eu le temps de comprendre ce qui m'arrivait qu'à mon tour je fus happée par le sol et en un éclair je disparus dans cette boue dont j'eus à peine le temps de la voir se refermer au dessus de ma tête alors qu'une main se tendait vers moi pour me porter secours, en vain.

Alors commença une lente descente, inexorable, interminable, jusqu'à ce que je réalise que tout était perdu, fini, j'allais mourir. Après une courte période de panique à l'idée de l'impensable, inexplicablement je me sentis entrer dans un état de profonde intériorisation puis, d'acceptation. A cet instant, je lâchai prise, abandonnai le combat pour accueillir la mort. Mon heure était venue et j'acceptai de vivre cette transition pleinement, avec sérénité.

Je me réveillai à cet instant, avec le souvenir de cet état de paix et je réalisai que je venais de mourir à moi-même, je venais de vivre le passage primordial qui précède la mort, autre passage primordial, comme une initiation, à moins qu'il ne se soit agit d'une réminiscence d'une vie antérieure...

Jamais je n'avais vécu une telle expérience au cours d'un rêve ! J'en fus bouleversée durant plusieurs jours et aujourd'hui encore, près de 20 ans plus tard ce souvenir est très vivace. Je demeure persuadée que même si j'ai vécu cette expérience pendant mon sommeil, les sensations éprouvées elles, était tout à fait authentiques. A croire que le rêve n'est autre qu'une autre forme de réalité, parallèle à celle de l'état éveillé. Mais ça, je le savais déjà...

Muriel Isabelle.

mardi, août 2 2011

Ma première expérience concrète avec un esprit.

Récit d'Ayaël.

Ce que je vais raconter ici est un fait récent...et ma vraie première expérience avec un esprit ( de manière active...c'est à dire que je ne me suis pas contenté de le voir ). J'étais apparemment endormie...mais tout était vraiment trop net, trop réel...Et ça n'avait rien d'un univers onirique. Je voyais ma chambre éclairée seulement par la faible luminosité du couloir, et de la veilleuse du couloir. Tout était calme et tranquille, pas un bruit. Puis soudain mon sang se glace...je vois apparaître une orbe assez grande de couleur blanche et mauve qui vient sans cesse faire le même circuit. Elle arrivait au coin de ma chambre avançait un peu et repartait dans le salon en longeant le mur. Je ne me rappelle plus comment mais j'ai reconnu mon père (il est vivant), de qui d'ailleurs...je l'ai appris, je tiens mon don de voir les esprits. Je savais par mon ange gardien, que pour me protéger il avait cadenassé ce don chez moi quand j'étais petite...pour me protéger. Et avant ce moment j'avais bien vu quelques esprits...mais souvent dans mes rêves.

Depuis quelques temps pourtant j'entendais des voix, de timbres et de tons différents...qui pouvaient même parler dans des langues étrangères. Des pans de conversation par ci par là...et je ressentais beaucoup mieux les esprits qu'avant.

J'avais depuis un moment la sensation que mon père avait décidé de décadenasser mes dons en quelque sorte, et de me transmettre cela. Il avait d'ailleurs été fort malade, et avait failli mourir...de plus cela faisait des années que je ne l'avais pas vu. Je porte le nom de mon beau père que je considère d'ailleurs comme un père aussi. Mon père, pour information, n'a jamais vécu avec ma mère et moi, mais je le voyais des fois.

Et là cette nuit, je le voyais (avec un corps astral ??!!) qui venait me rendre visite. Puis à sa seconde ronde, comme un prof qui enseigne sa première leçon à un élève...il est revenu accompagné de ma "première mission" si j'ose dire. Il est revenu avec un esprit...je ne voyais de lui qu'une sorte de brouillard, et il me faisait peur.

J'ai tenté de garder mon sang froid, parce qu'un mort n'est pas un phénomène de foire...c'est un être qui a été parmi nous un jour, et qui pense, qui aime, qui a peur. Il parlait par saccades et disait continuellement qu'il fallait appeler l'assitante sociale. Il avait l'air d'avoir subit un traumatisme...ou d'être mort si vite qu'il ne s'en était pas encore rendu compte. J'ai commencé à lui parler en lui demandant son nom, mais il était trop secoué pour me répondre. Je lui ai parlé en lui disant que sans doute des gens chers l'attendaient de l'autre côté, et que ses proches seraient appaisés de le savoir en paix. Je voulais le convaincre d'aller vers la lumière...il m'a écoutée sans me répondre...et s'est un peu éloigné.

Je me souviens que pour l'entendre je devais coller mon oreille contre une espèce de souffle...mais sans faire exprès il me faisait mal en parlant. Sa voix était comme un souffle brûlant qui me faisait horriblement mal à l'oreille. Quand il s'est éloigné j'ai cru que il ne m'avait pas écoutée...et que j'avais échoué.

Et soudain j'ai vu très vaguement une sorte de gouffre un peu doré au dessus de sa forme indistincte...il a levé ce qui semblait être sa tête vers cette dernière...et a été happé par la lumière.

Je me suis alors "réveillée"...mais plus qu'étrange, je n'avais, en fait jamais fermé l'oeil. Mes yeux étaient demeurés ouverts.

Perplexe, et aussi émue je me suis levée, et j'ai refais le trajet que mon père avait fait (l'orbe du début), et là j'ai eu un frisson...je sentais sa trace énergétique. Je me suis rendue compte que en passant dans mon salon il était passé devant la cage de mon lapin.

Sachant qu'il était sensible à ces choses je suis allée voir un peu inquiète. Grand bien m'en a pris ! Il était dans un coin de sa cage, aplati, couinant de peur, et ses intestins avaient lâché sous l'émotion. Quand il m'a vu (il a l'habitude de mes apparitions nocturnes), il a paru soulagé. J'ai mis dix minutes à le calmer

Et je précise que, l'oreille que j'avais collée contre le souffle du fantôme, me faisait horriblement mal.

Ayaël.

La spiritualité par le professeur Charles T. Tart

Sur quoi travaillez-vous actuellement ?

Prof. Charles T. Tart : Je travaille sur mon prochain livre dans lequel j’explique que tout ce que j’ai appris en temps que psychologue, et particulièrement comme psychologue transpersonnel, démontre que nous sommes des êtres spirituels. Quelque chose en nous est spirituel, mais nous vivons dans un monde où le matérialisme est la philosophie dominante : dans la science, dans le commerce, dans bien des domaines. Et son message est: “La spiritualité est une absurdité ! Ce n’est qu’un amas de superstitions, probablement pathologiques. L’esprit n’est rien de plus que le cerveau. Les idées spirituelles comme les esprits, Dieu, la prière.., ce ne sont que des idioties ! “ Alors nous voici: des êtres pourvus d’une nature authentiquement spirituelle, avec de fortes envies de spiritualité, et quand nous essayons d’y mettre un peu d’énergie on nous dit : “Ce sont des bêtises ! C’est de la folie ! Ne perdez pas votre temps avec ce genre de trucs !“ Ce livre que je suis en train d’écrire explique fondamentalement comment on peut scientifiquement se pencher sur ce domaine. On peut rester tout à fait scientifique et constater qu’il existe un tas d’indices démontrant que l’esprit humain fait des choses qui sont conventionnellement considérées comme “spirituelles”, des choses qui ne peuvent pas être expliquées par le matérialisme. Il est donc parfaitement rationnel d’investir de l’énergie dans la recherche spirituelle. Il est parfaitement acceptable d’être à la fois à la recherche de réponses spirituelles et une personne rationnelle et scientifique. C’est le message de mon livre. Dans un certain sens, cet ouvrage exprime l’essentiel de ma carrière en reliant mes recherches sur la parapsychologie, les états de conscience, la psychologie transpersonnelle et mon envie d’essayer de partager mes convictions.

Essayons de définir plus précisément le terme “spiritualité” comme vous le proposez. Est-ce que par exemple “spirituel” est pour vous identique à “religieux” ?

Prof. Chartes T. Tart : Je vais commencer par définir la perspective matérialiste. Le point de vue matérialiste dit fondamentalement ceci : “Je suis un bio-ordinateur à base de viande. Ma conscience, ma vie, mes espoirs, mes angoisses sont tous issus d’impulsions électriques et chimiques circulant dans mon cerveau et produits par accident. Prenez l’univers, vieux de plusieurs milliards d’années, secouez-le le temps nécessaire... et nous voici ! Tout ceci n’a aucune signification, mais nous voilà et quand nous mourrons... c’est fini. C’est tout”. L’idée d’une âme ou d’un esprit est parfaitement ridicule dans la perspective matérialiste. Maintenant, si cette perspective matérialiste est correcte — et beaucoup de personnes le pensent — cela a de nombreuses implications sur la manière de mener notre vie. L’implication principale peut se formuler comme suit: “Je veux avoir ma part de plaisirs et éviter la souffrance, et je veux utiliser les autres de la manière la plus efficace possible pour arriver à mes fins. Car je me fiche de vous et des autres puisque vous n’êtes rien de plus qu’un ras d’impulsions électrochimiques intégrées dans un morceau de viande — rien de plus ! Tout cela n’a aucune signification.” Le matérialisme ne mène pas obligatoirement à ces conclusions, bien sur, et certains matérialistes sont des personnes tout à fait merveilleuses, mais cette perspective mène naturellement vers cette attitude où “mon plaisir prime” et “rien n’a de véritable signification”. En tant que psychologue, je sais que les personnes privées d’une véritable signification dans leur vie tombent malades. Elles essaient de se distraire ou elles développent des psychopathologies diverses. Nous rencontrons le point de vue opposé dans les systèmes religieux et spirituels qui disent: “Non, non ! Bien sûr, le cerveau-viande est important, c’est la voiture que nous conduisons ou l’ordinateur que nous utilisons, on doit les respecter, ils ont leur importance, mais il y a quelque chose de plus, quelque chose qui nous relie à un univers de significations.” Y a t-il quelque chose de réel dans ce second point de vue ? Telle est ma question. Maintenant, voyons la distinction entre la spiritualité et la religion. Quand je parle de spiritualité, je me réfère à une expérience personnelle qui relie les gens à quelque chose de plus vaste. Je pense par exemple aux personnes qui vivent des expériences de mort imminente et qui rencontrent un être de lumière transcendant qui communique télépathiquement avec elles, qui sait tout ces personnes reviennent avec de nouvelles connaissances. Voilà un type d’expérience spirituelle. Quand des personnes parlent occasionnellement de leurs expériences, alors un processus communautaire se met en marche et après quelques centaines d’années on a une religion dogmatique qui, après avoir décortiqué toutes ces expériences individuelles, les fige dans une doctrine et les incorpore dans la structure du pouvoir en place, habituellement en se servant de la récompense et de la punition: Vous avez intérêt à croire ceci ou cela, sinon vous irez enfer !“ Je ne suis pas particulièrement intéressé par la religion, bien que je reconnaisse que nous ayons besoin du support social que les religions peuvent offrir. Par contre je suis intéressé par ces expériences spirituelles de base, ces expériences transpersonnelles pour utiliser un terme plus scientifique. Je m’intéresse aux expériences qui procurent une connaissance directe du fait que notre existence dépasse de loin notre ego. Voilà la distinction que je fais. Dans ce livre que je suis en train d’écrire, je commente les indices dont nous disposons et qui nous incitent à penser que nous sommes effectivement bien plus que les processus chimiques et électriques qui se produisent dans notre cerveau.

Source : INREES - Institut de Recherche sur les Expériences Extraordinaires.

Francis (membre bienfaiteur de l'INREES.)

Ma visite onirique à Jérôme.

''Voici l'e-mail que je viens de recevoir de Jérôme. Ce dernier m'avait, il y a quelques mois, envoyé un témoignage que j'avais intitulé "Le parcours de Jérôme". ''


Bonsoir Francis,

Je ne sais pas si tu te rappelles de moi mais je t'ai écrit il y a déjà un petit moment sur ton blog, on y a synthétisé une sorte de "témoignage".

Mais je me permets de t'écrire aujourd'hui pour quelque chose de relativement troublant !

Je viens de passer mes vacances avec un ami ayant pour but de faire des expériences communes, on a donc médité, travaillé sur nos énergies, on est même allé se recueillir sur la tombe de Maître Philippe de Lyon. Bref, dans cette semaine j'ai développé mon magnétisme et mon onirisme : Je me rappelle de tous mes rêves, et arrive même à en "induire" certain, sans pour autant être en rêve lucide.

Mais ce que je viens de découvrir m'en bouche un coin :

J'ai fait un rêve il y a quelque jour portant sur la spiritualité (cela ne m'était jamais arrivé auparavant), j'y rencontrai un être m'expliquant le fonctionnement du "voyage instantané" qu'il maîtrisait, ainsi que certaines lois du Karma. Dans la suite de mon rêve, un certain Francis se présente à ma porte, il me dit que j'ai loupé la réunion annuelle du club, et que j'ai donc manqué une sacrée conférence sur l'éthérique....

Mon rêve prit fin ici, mais j'avais toujours en tête l'image de ce Francis....."Mais je ne connais pas de Francis moi..." Puis tout à l'heure en survolant mes sites de mes marque-pages, je revois ton blog et me souviens soudain qu'il était tenu par un Francis ! Curieux, je vais voir le profil, mais ne trouve pas de photo...juste ton nom de famille. Je me dis que mon imagination me joue des tours ! Mais étant toujours autant curieux, je le rentre sur Facebook et découvre stupéfié que ta photo correspond à mon image mentale....

Faut arrêter de visiter les gens dans leur sommeil ! Je rigole bien sur, c'est génial, continue comme ça. J'espère que tu viendras une fois m'aider à sortir mon corps astral de son enveloppe physique.

Sur-ce, passe une bonne soirée.

Byebye, Jérôme.


''Salut Jérôme



Content d'avoir de tes nouvelles....surtout de cette façon.



Je ne suis pas très étonné car ce phénomène n'est ni nouveau, ni surprenant pour moi. Je sais que le gros de mon "travail", d'instructeur, de guérisseur et de passeur d'âmes, je le fais pendant mes méditations ou mon sommeil.



Cela m'a été expliqué par un de mes Amis (très discret) et c'est logique car n'étant plus prisonnier de ma prison de chair, je peux circuler dans l'astral, hors du temps et de l'espace et rencontrer ceux que je dois aider qui sont également plus réceptifs hors de leur corps matériel. Il parait que je réunis des groupes entiers pour multiplier mon action.

La prochaine fois essaie de ne plus raté la réunion du club des illuminés ou allumés de l'astral.''

Francis.

lundi, août 1 2011

L'écriture automatique par téléphone avec Delhfe.

En 2006, je proposais, dans la rubrique "Expériences métaphysiques" d'un forum de recherche sur les projections de conscience et d'expériences énergétiques, de tenter un déclenchement d'écriture automatique par téléphone... J'ai répondu positivement à trois candidats à cette expérience peu commune. Les trois essais furent positifs et j'ai sélectionné, pour mon blog, celui réalisé avec Delhfe.

Voici mon post de départ suivi par les deux de mon adorable "cobaye" qui est devenue une Amie très chère.

Le 13 décembre 2006.

J'ai souvent, depuis 15 ans, utilisé l'écriture automatique,surtout dans l'aide à mon prochain.

Je n'écris pas moi-même, j'ai essayé en vain, je n'y arrive pas, par contre j'ai assez de facilité à la déclencher aux autres.

Il me semble avoir vu quelque part une sous rubrique rencontre, mais je ne la trouve plus. Si l'un (ou plutôt l'une d'entre vous) est tenté par cette expérience intéressante, je suis disponible.

J'ai précisé "plutôt l'une", car j'ai constaté que cette possibilité était beaucoup plus facile aux femmes. Cela a peut être un rapport avec le fait qu'elles sont sensées fonctionner beaucoup plus sur le lobe droit du cerveau, qui est la partie abstraite de l'individu et nous sur le lobe gauche, celui du concret. Connaissant l'humour de certains, je rappelle que j'ai 60 ans, que je suis marié et qu'il n'y a pas là un piège d'obsédé sexuel. Surtout que cet essai entre membres vous sera relaté ensuite.

Je précise aussi, que toutes mes "interventions" de ces 15 dernières années, ont été et seront toujours bénévoles. Ce n'est donc pas dans un but commercial que je fais cette proposition. Je trouve intéressant, pour le forum, de passer de la théorie à la pratique.

J'habite dans la région d'Aubagne, à 30 kms de Marseille.

Francis

PS : J'espère ne pas déclencher, par cette proposition, un déferlement de posts critiques. Ma démarche est simplement sincère, surtout que je ne peux garantir un résultat. Ce sera pour moi l'occasion de rencontrer un autre membre de ce forum de chercheurs.

Le 16 décembre 2006.

Coucou, nous avons partagé cette expérience avec Francis vendredi après midi et j'ai d’ailleurs hâte de la partager avec vous tous... seulement il va me falloir un certain temps pour remettre tout sur le PC donc je ne vous posterai ça que mardi.

Si je souhaite le raconter sur le forum c'est que je sais que beaucoup ici me connaissent et ont assez confiance en mon jugement pour savoir que je ne suis pas là pour raconter une jolie histoire, (rire) et ça a été un moment tellement magique et intense que je voulais en rendre compte, uniquement pour la beauté de l'expérience...

Tout ce que je peux dire, c'est que le doute n'est plus permis, la communication est bien réelle et complice même. Encore plus pour moi qui ai eu la chance de pouvoir aider ma tante disparue. Je sais bien qu'on est incroyablement limité par les mots mais j'essaierai de décrire au mieux tout ce qui s'est passé en espérant que l'émotion sera partagée. Voilà !

J'ai littéralement décollée du sol. Je remercie Francis (même s'il s'en offusque) et qui de droit de m'avoir permis de connaître un tel moment. C'est comme une porte qui s'est ouverte, un évènement qui s'inscrit naturellement pourtant. Bon, je repars digérer tout ça, (rire). A mardi.

Delhfe.

Le 17 décembre 2006.

Je dois dire que durant toute la matinée, c’était dans un état bien particulier qu’il m’est arrivé de ressentir déjà par 2 fois et qui sont à chaque fois annonciateurs d’une expérience à venir (comme ma 1ère projection en toute conscience). Je me sentais comme dans du coton, décalée dans mon corps, comme dans un rêve, vibrante d’énergie et tremblante avec bouffées de chaleur…

Avant de commencer, nous avons convenu que je ne parlerai pas directement à l’âme égarée, je ne serai que le canal et seul Francis qui en a l’habitude pourrait s’adresser à elle… Je suis donc restée le plus calme possible et le plus important, restée comme une page blanche et mettre de côté ses propres émotions et réaction. Rester en ouverture totale, faire don de soi en quelque sorte…

Je vais donc raconter tout ce qui a pu se passer, étape par étape, pour que vous saisissiez bien le fil conducteur et en quelque sorte la «méthode » qui n’est pas plus difficile que la simplicité et le cœur. L’essentiel étant de resté ouvert et disponible, sincère et humble.

Francis invite une âme égarée en demande à nous contacter si elle se sent prisonnière du plan physique et qui aurait besoin de s’élever. Il lui propose notre aide en disant que nous ne faisons ça, ni pour briller, ni pour des sensations fortes mais uniquement pour l’aider et que nous resterons tant qu’elle n’aura pas réussi à se libérer. Une entité répond favorablement par des secousses très légères dans ma main. Comme nous procédons par téléphone, je dois tenir Francis au courant des réactions. Durant tout le temps l’ambiance est restée très détendue, nous plaisantions même à trois, (rire). Parfois c’était nerveux, certes… Donc le crayon bouge un peu, légers gribouillis. J’essaie de tenir le stylo le moins possible, qu’il repose simplement entre mes doigts. Je suis déjà interloquée qu’il y ait eu cette réaction mais je n’analyse pas, je continue sur la même note.

Francis l’encourage (rire) et l’âme répond favorablement. Il lui dit « allez, si tu veux communiquer, concentres toi et tire un trait de gauche à droite »… ce fut chose faite. Mouai ! Je commence à ressentir cette présence intérieurement. Francis pressent que c’est peut être une femme et se reprend à chaque fois. Il va même se tromper de nom en me parlant et va prononcer un prénom particulier, mais je ne l’ai pas entendu à ce moment là. C’est un prénom féminin.

L’entité est très émue, je la ressens dans mon corps. Elle y prend goût et trace des traits, des montagnes, des ronds dans tous les sens. Mon corps est pris de spasmes très forts (je décolle vraiment du sol !!! mdr). Je la sens émue et toute surexcitée. Francis lui propose de communiquer par écrit en commençant par des oui/non. Donc en réponse à plusieurs questions, NON elle ne savait pas qu’elle pouvait communiquer avec nous par ce biais … NON elle n’est pas très heureuse où elle est. Ce sont les premiers mots écrits. Francis lui dit que comme moi elle débute et que nous devons apprendre en même temps. Donc on y va progressivement. Les OUI sont tout à fait lisibles à mon grand étonnement.

Les vibrations de l’entité sont ressentis tellement fort dans mon corps que je suis prise de spasmes de plus en plus fort, je sais que je ressens ses émotions car moi, je reste mentalement imperturbable et calme, malgré le fait que je suis soulevée du tapis, c’est très fort. Je suis en transe, beaucoup d’émotions, beaucoup de larmes coulent mais c’est du bonheur. Je découvre.

Ce qui est drôle, c’est qu’il y a vraiment des réponses aux demandes de Francis. Elle arrive à se calmer à sa demande et à se canaliser pour pouvoir écrire. Il lui demande d’écrire son prénom. Ce qu’elle fait mais avec trop d’excitation et d’émotion, c’est un peu tortueux et difficile à lire. Chaque fois que je tiens le crayon, j’ai les yeux fermés et je découvre aussi, je suis en attente de chaque lettre. Je décolle encore du sol, elle veut vraiment communiquer. J’essaie de déchiffrer et je crois lire Daniel (car il y a 2 gribouillis ronds) c’est le nom de mon père. A peine Francis lui demande de mieux se concentrer pour écrire, à peine ai-je le temps de réaliser qu’il s’agit peut être du nom de ma tante Muriel (qui s’écrit bien ainsi) … que l’âme écrit d’elle-même, de la façon la plus lisible qui soit le prénom Muriel !!! C’est bien ma tante. Écriture enfantine mais tout à fait claire. Émotions, tremblements, larmes, joie… Ca y est, on a enfin la réponse, tous les 3 nous savons et arrive le moment des retrouvailles intenses. Je la sens comme une enfant heureuse et soulagée. Comblée de cette incroyable rencontre. Bingo, Francis a lui-même les larmes aux yeux, c’est le prénom Muriel qu’il avait prononcé par lapsus tout à l’heure, alors que je ne l’avais pas entendu.

Il lui demande d’écrire si elle a un message pour moi et ça repart. J’ai les mots dans la tête une fraction de seconde avant qu’elle écrive. Toujours les yeux fermés instinctivement. « Je t’aime. Je suis fière de toi » C’est la folie, la joie. Ce n’est donc pas une légende, rire, il faut bien prévoir le verre d’eau et les kleenex, (rire). Elle s’emballe et le stylo fait des va et vient super nerveux dans tous les sens, c’est incroyable. Je la sens heureuse et excitée, mon corps est secoué dans tous les sens, c’est la débandade, (rire).

Puis ça se calme. Francis demande si elle a des difficultés à écrire comme c’est nouveau et si elle préfère essayer un nouveau moyen de communication. A ce moment là, ma tête bascule frénétiquement vers l’arrière de plus en plus vite. Et moi je le perçois comme un OUI. Nous tentons de communiquer par la voix… je sens que ça veut sortir mais ça coince. C’est comme une boule dans la gorge, je suis sur le point d’accoucher de quelque chose mais trop de pression, puis je n’y connais rien, donc ça ne sort pas, (rire). Apparemment on saute les stades habituels de communication pour une débutante…( ?) On laisse donc le stylo de côté. J’essaie de rester vraiment comme une page blanche et de m’éloigner de moi pour lui être entièrement disponible, je suis le courant.

Francis lui redemande si elle est bien heureuse là où elle est et cette fois elle répond oui. Toujours des balancements de la nuque vers l’arrière mais je sens que ça s’emballe. (Il me dira par la suite qu’il a eu l’intuition qu’elle mentait pour ne pas me blesser ou m’inquiéter). Elle avait dit NON la première fois d’ailleurs par écrit. Elle dit être dans la lumière et être heureuse (tout ça toujours avec mouvements de tête et corps toujours secoué dans tous les sens). Je suis balancée d’avant en arrière, parfois ma tête fait des rotations.

On continue donc par la pensée vu que par la voix ça ne marche pas. Et puis j’avais reçu ses quelques mots par la pensée pendant qu’elle les avait écrit, alors on tente ainsi… Je trouve mes marques peu à peu en m’ouvrant comme une page vierge et en la laissant me donner ses mots. On commence simple avec des OUI/NON. NON, ma tête bascule vers l’avant, vers le sol avec sensation de lourdeur. OUI, ma tête part vers l’arrière avec légèreté et positivisme.

On passe aux mots par la pensée et stupeur, les mots et bouts de phrases viennent en s’imposant à moi et mon esprit, avec l’émotion ressentie, la sienne.

Elle réagit vraiment au demande, c’est interactif, (rire). C’est un réel moyen de communiquer. Elle a finit par avouer qu’elle n’était pas montée à la lumière. L’intuition de Francis se confirme donc, elle ne voulait pas avouer que non pour ne pas me faire de peine. Je prononce avec une petite voix les mots qui me viennent intérieurement, à demi mot tellement je suis incroyablement surprise et prudente. Et pourtant les mots s’imposent à moi, je suis complètement à l’écoute. Voilà les mots que j’ai reçus : Je ne veux pas partir (de ce plan) J’ai peur de vous quitter. Je ne suis pas heureuse (proche de ce plan) J’en ai besoin (de m’élever).

Tout s’emballait. Tremblements, je sentais dans tout mon corps son émotion, ça partait en vrille, elle comprenait qu’on allait l’aider, qu’elle allait enfin s’élever et tout ça faisait beaucoup à assimiler. Mais ma tante était justement une grande personne, avec une grande âme et je n’aurai jamais imaginer qu’elle est pu rester ici pour sa famille. Et apparemment aussi pour moi puisqu’elle me suivait de près. D’ailleurs pendant presque toute la séance j’ai été secoué dans tous les sens …

Francis lui a dit qu’on était là pour l’aider à monter et qu’on ne la laisserai pas tomber avant qu’elle ait réussi. De se calmer à d’avoir confiance. Que si elle voulait me transmettre un autre message, qu’elle me le dise. Apparemment si elle est restée là depuis 5 ans, c’est aussi pour m’aider et veiller sur moi. Elle m’a dit : Je t’aime. Je ne te quitte pas. Tout ira bien. Et là, j’ai vu l’image d’un bébé, un petit garçon (j’ai toujours eu cette intuition) et mon ventre s’est activé incroyablement. J’étais en pleurs car ce qui se passait était géant. Elle a dit aussi : J’en ai besoin (de m’élever) Francis lui demande ce qu’elle ressent : soulagement, impatience. D’ailleurs je suis à nouveau secouée et je décolle bien du sol.

Autant je ne m’attendais à rien, merci la pression (rire). Envisager déjà que le stylo puisse bouger, alors le reste … Pourtant ce sont bien ses mots, rien ne vient de moi, je l’aurai eu au téléphone, ça n’aurait fait aucune différence. J’ai simplement réussi à choper le truc super rapidement. Je l’écoute (la reçois) c’est le bonheur, je suis toujours secouée. Je sens quand elle a finit, elle veut y aller, mes sursauts confirment son impatience, (rire).

Francis lui dit que c’est le moment. Il lui demande de m’emmener avec elle jusqu’à la lumière mais de ne pas m’emmener plus loin car ce n’est pas ma place. Il me dit à moi que ça va être démentiel et de m’ouvrir. Il dit à ma tante de fixer avec les yeux physiques qu’elle a eu un jour, un point lumineux dans le ciel. Tout à coup, j’ai l’image ! Je le vois aussi ce point de lumière. Je sens qu’elle panique. Je ressens toutes ses émotions tellement c’est puissant. J’en ris nerveusement. Francis dit : ça te semble inaccessible. Elle répond par des tremblements saccadés et paniqués. Comme un animal sauvage aux aboies. Il lui dit que tout va bien aller, de m’emmener avec elle et de me laisser là ensuite. Je vais voir et vivre tout ce qu’elle va vivre jusqu’au passage… On s’approche lentement du point lumineux. Francis demande ce qu’elle ressent : Chaleur, douceur, légèreté, lumière… Je vois que tout devient lumineux et rassurant. Francis lui demande ce qu’elle voit… nous voyons en fait. Il savait qu’un guide serait là pour l’accueillir. En effet je vois un homme devant cette lumière… J’arrive à peine à oser le décrire. Il est brun aux cheveux longs ondulés. Il porte une toge blanche. Il a les mains et les bras ouverts pour nous accueillir … On dirait une icône religieuse… Putain, je vois Jésus ! J’ose à peine le dire à voix haute car ça ne fait pas du tout parti de mes croyances. Je n’ai aucune religion et cette image me surprend, ça me semble « ridicule », je ne comprends pas. Je me sens ridicule. On arrive devant lui avec ma tante. Francis lui demande si elle a un dernier mot à me dire. Elle se tourne face à moi et là … je me vois, je suis elle et je vois mon image. C’est incroyable. Elle me dit : Veille sur la famille. Va les voir plus souvent. C’est le plus important la famille…. C’est tout à fait elle. Je pleure comme une folle, de bonheur, et puis je sens qu’elle a finit. Je la vois passer dans cette lumière et disparaître…

Je me retrouve face à cet « homme » et Francis lui demande en toute humilité s’il veut nous dire quelque chose, tout en sachant que son temps est précieux et compté. J’entends « nuit » et « étoile » Puis je sens qu’il veut aussi partir et il disparaît aussi à la suite de ma tante... Voilà, c’est finit. Elle est montée …

Bien évidemment cette image biblique était la représentation mentale de ma tante qui était croyante. Ca devient logique. Je me souviens qu’un an avant son décès, nous étions assise côte à côte à l’église à l’enterrement de mon père et elle m’avait demandé si je voyais le visage du Christ sur le mur blanc… C’était donc l’image de son paradis à elle. Je comprends mieux.

Je me suis peu à peu retrouvée et repris le contrôle de mon corps, séché mes larmes, repris mes esprits. Bien que je suis restée consciente tout au long de cette expérience. Ce qui vient de se passer est indescriptible, je ne peux que m’incliner. C’était un moment magique de pur Amour, bien au-delà de mes espérances. Je n’en avais même pas.

Les messages bien sur n’ont de sens que pour moi mais le partage en fut le plus beau cadeau. Je n’imaginais pas avoir les « capacités » de donner et de m’ouvrir à ce point. Je ne savais même pas que c’était possible. Si c’était réel même. Difficile donc devant l’intensité vécue de mettre de simples mots adéquats sur une expérience qui va bien au-delà. Je sais aussi qu’il est délicat de partager cela. Le doute et le scepticisme sont bien normaux. Si je le partage avec vous, c’est que beaucoup ici me connaissent assez pour savoir que je reste toujours honnête et objective (pour autant que j’en sois consciente), (rire), voilà pourquoi je le fais, pour la beauté de ce moment si particulier.

Depuis, je me sens sereine et bien, calme. Je ne suis ni surexcitée, ni hallucinée, (rire). Je suis juste bluffée et humble. Heureuse d’avoir pu aider. Heureuse d’avoir eu la chance de le vivre, tout simplement. C’était un moment indescriptible. J’ai quand même la sensation une porte s’est ouverte. Que c’était peu être mon chemin. Tout me semble si naturel. J’ai le cœur ouvert depuis et hier soir vers minuit, j’ai ressenti quelque chose que j’ai cru reconnaître. La forte sensation de recevoir une demande. Avec vibrations et légères secousses dans les jambes. J’ai simplement dit que si quelqu’un avait besoin de notre aide, qu’il attende que j’en parle et demande confirmation car je ne suis que novice et je ne veux rien faire à la légère… En réponse, j’avais de fortes pressions sur le cœur et la poitrine avec vibrations… donc… Mais cette fois, je sais comment me placer en retrait et reconnaître des émotions extérieures à moi. J’en parlerai donc avec Francis. Voilà …

Delhfe.

Ce qui m'a le plus marqué dans cette expérience, c'est le fait d'avoir, en début de séance, appelé par erreur Delhfe (ce n'est pas son vrai prénom, mais son pseudo sur forum) Muriel, alors que je n'avais pas encore fait connaissance avec cette tante qui portait ce prénom bien différent de celui de mon nouveau "scribe".

Francis.

Témoignage de Thomas, "un p'tit jeune".

Bonjour bonjour.

Après plusieurs expériences "bizarres", je me suis mis à chercher quelqu'un qui me comprendrait : seule solution l'immensité d'internet, hé bien j'ai à vrai dire presque rien trouvé et là je tombe sur ton fabuleux blog et miracle les récits d'une certaine Adeline.

Je raconte un peu ma vie, désolé mais cela me semble nécessaire à une certaine compréhension. Donc tout commence vers mes 14 ans à peu près, ma vie du jour me fatiguait, enchainant problèmes sur problèmes. A ce moment ma vie de rêveur prend le dessus, en fait je préférais rêver, partir loin, me réveiller le matin me dérangeait.

J'ai donc beaucoup rêvé, encore aujourd'hui (vous allez me dire que tout le monde rêve, mais combien s'en soucis ou s'en souviennent ??? C'est d'ailleurs un gros problème je pense dans notre société, les gens y sont trop attachés), j'ai à présent 20 ans, le changement c'est fait lorsque que j'ai fait mon premier vrai rêve lucide, je dis lucide du fait que je sache que je rêve (je réfléchis souvent en rêve où je prends des décisions mais je ne m'aperçois pas que je rêve) et là émerveillement total je prends conscience "hooo ! mais je rêve énorme !!! j'en profite immédiatement, je sens le soleil me chauffer, je ramasse du sable qui glisse entre mes doigts, j'observe autour de moi les arbres, les couleurs sont nettes, je me sens vivre plus vrai que nature. A mon réveil j'ai bien compris que je n'ai pas fait qu'un simple rêve. Le spiritisme entre direct dans ma vie, mais je suis jeune à ce moment là, je continue de rêver. J'entends parler de sortie astrale, des choses dans ce genre, chackras, aura etc. Je commence à méditer, mes seules "sorties" corporelles à ce jour n'en sont qu'au stade d'une sensation de chute en arrière et d'un réveil brusque. Ce matin, plus au moins réveillé, allongé dans mon lit, je sens comme un balancement rapidement d'avant en arrière, comme sur cheval à bascule et là je me sens léger puis hop cette sensation de chute en arrière, des frissons comme d'hab'. Je me suis donc motivé à poster aujourd'hui pourquoi pas.

Tout ça pour dire, héhé !, que cet été, debout dans mon jardin, j'observe le ciel et là je commence à voir des petits point lumineux, blancs dorés je dirai, se baladant partout. Je me frotte les yeux je me pense mal réveillé, je me reconcentre et ils reviennent, bon j'suis pas fou non plus, je cherche une réponse physique, on va dire poussière dans l'œil, non ce n'est pas ça...la poussière se voit comme des tâches floues qui dérivent lentement devant la vision, illusion d'optique ? Donc j'expérimente, je fait des tests et au bout d'une bonne demi-heure dans mon jardin, plus surprenant, je place ma main au milieu de ces points et là, les points passent derrière, devant ma main, l'évitent. Ils virevoltent dans les airs en trois dimensions, donc ce n'est pas une illusion. Je pense que n'importe qui peut essayer et surtout y arriver, pour moi cela demande un rien de décontraction, un minimum de respiration, ils apparaissent en un rien de temps. Du coup, je teste dès que je peux, j'arrive à en voir autour d'un ami, dans les branches de mon olivier. Cela s'appelle une vision du prana il me semble, de l'énergie dit cosmique présente partout surtout dans la lumière, il faut dire qu'en intérieur il est très dur d'en voir.

Avide d'expérience de ce genre, j'entends parler d'une possibilité de voir l'aura des humains, animaux, végétaux. Alors je m'entraine, essaye, réessaye. Au début je commence à voir une couche infime et flou, épaisse d'environ 3 mm, en observant ma main, plus tard en plus de cette 1ère couche en s'éloignant, j'aperçois une couche plus épaisse, dure à tenir, elle disparait facilement mais celle la a une certaine couleur dans un bleu turquoise au violet.

Au fur et à mesure j'arrive à la tenir, je bouge lentement, la volute suit ma main, les contours quel bonheur... une vision aurique !!! L'entrainement est plutôt fatiguant, j'ai mal aux yeux, à la tête, je me repose on verra plus tard. Je remarque un moment opportun pour m'entrainer : en cours tout simplement. Mon prof devant ce grand tableau blanc à 4 mètres de moi.

Bon ça a ses inconvénients : un regard vitreux... et un prof qui bouge beaucoup, mais l'avantage est que c'est un entrainement très performant vue l'environnement les personnes autour etc.. il permet d'apprendre à vraiment se concentrer (j'avoue qu'en cours ce n'est pas très préconisé non plus).

Donc j'essaye par petites phases, aux bon moments. J'ai mis pas mal de temps à enfin réussir à obtenir des résultats, mais la vue de la deuxième couche autour de mon prof a été une grande satisfaction pour moi. Il me semble que certaine personne voit une 3ème couche qui résulte des mouvements du chackra, des sortes de spirales englobant la personne jusqu'à un, deux mètres, mais j'aime bien la simplicité de la deuxième.

D'ailleurs Francis, je me permet de te tutoyer, tu parles d'une histoire où tu trouves un citronnier grâce à une vision aurique, comme ça, avec une aisance palpable, j'ai adoré ton récit, tu racontes ça d'un naturel, je devrai rencontrer plus souvent des personnes comme toi.

Tout ça pour en venir au fait, que la lecture de l'expérience d'Adeline, est très similaire à la mienne, c'est même frappant, je pourrai parler des heures des essais que j'ai fait pour voir l'aura rien que la compréhension des illusions d'optique qui perturbent (le simple fait de loucher un petit peu sans s'en rendre compte par exemple), une fois comprises et enlevées, la vision devient nette et précise.

Je n'ai raconté cela à personne d'autre, je me vide beaucoup je pense en racontant mon histoire elle fera au moins du bien à moi sans vouloir être égoïste.

Toujours, j'essaie de rester un peu en retrait, avoir une vision logique, pour ne pas être dans l'erreur. De plus il est difficile d'en parler dans son entourage, je suis jeune, on me prendrait pour un débile, c'est triste à dire et dégradant mais vrai : allez dire à n'importe qui, qu'en méditant un peu il verra des choses qu'il n'imagine pas, alors qu'il a surement déjà eu une vision aurique sans s'en rendre compte.

En gros, mes amis qui passez sur ce fabuleux blog, réfléchissez un peu, s'il vous plait, aux dires écris. Essayez de rêver un peu plus, ce sera déjà pas mal.

Francis ton blog est merveilleux, tu es une bonne personne, j'admire ta sagesse, continue comme ça. Pour moi p'tit jeune, il ne me reste qu'à méditer, aller un peu plus loin, pour simplement mieux comprendre...

Mes salutatioooons.

Thomas.

La libération de Julie.

Bonjour.

Je me présente, je m'appelle Victor j'ai 20 ans et je suis étudiant. Je suis amené aujourd'hui, sans vraiment savoir comment à vous envoyer ce message, message d'aide je ne sais pas trop, mais après la lecture de votre blog, le besoin s'est fait ressentir. Je vous serais reconnaissant de prendre quelques instants pour lire mon histoire, et si le cœur vous en dit, de partager votre avis.

Tout d'abord je ne suis pas le seul concerné, je joue même un rôle secondaire dans cette histoire. En fait il s'agit d'évènements qui touchent directement ma copine (Julie), avec qui je vis depuis presque 1 an. Pour commencer par le début, depuis le décès de son grand-père, alors qu'elle avait 8 ans, lorsqu'elle elle s'apprêtait à s'endormir, elle ressentait une présence dans sa chambre, et aussi les sensations d'une main qui se posait sur son dos. Ces évènements se sont espacés au fil du temps pour s'arrêter quelques mois plus tard. Le temps est passé et quelques mois après notre rencontre, nous nous adonnions régulièrement à la pratique de l'hypnose, toujours dans le sens où je lui servais de guide lors des séances. Les résultats n'ont été que positifs sur de nombreux plans. Puis dernièrement, je fis la découverte de ce que l'on appelle "voyage astral". De nombreuses heures de lecture, d'expérimentation de mon coté sans grand succès malgré de petits progrès. Bref ce n'est pas le tout: rapidement nous en sommes arrivés à utiliser l'hypnose, toujours dans le même sens, afin d'induire une projection astrale à Julie. Le premier essai s'est soldé sur une sensation d'emprisonnement dans son corps, panique puis retour à la réalité, quelque peu perturbée. Notre impression est qu'à partir de cet instant, ont commencé certaines manifestations dans notre appartement. Rien de flagrant: des objets qui tombent, jamais sous nos yeux, bruits de pas dans l'appartement, pour Julie sensation d'être observée, principalement dans la cuisine. Peu de temps après, nous réessayons la projection astrale, qui cette fois ci est un succès, où sous mes yeux j'ai pu observer sont corps se courber lentement, attiré vers le haut puis retomber brusquement, presque inerte. Peut être 1 ou 2 minutes plus tard elle bondit en sursaut, ces premiers mots on été "j'ai un PV", elle à également observé une voiture verte garée devant la sienne, ce qui s'est avéré être le cas après vérification. Physiquement un peu retournée, et psychologiquement un grand bien être. Un scénario plus ou moins similaire s'est répété 1 fois par la suite. Niveau manifestation, un évènement vraiment intrigant se produit. Tandis que Julie ouvrit le micro onde pour y récupérer un plat, le temps de se retourner prendre de l'aluminium, celui ci bondit sur son bras: brulure superficielle. Elle est formelle, il était bien calé et elle ne le touchait même pas, la porte du micro onde était ouverte depuis déjà quelques instants. Voici le principal maintenant: Après une forte dispute entre nous quelques jours après, elle s'est vue prise de convulsions, elle me dit qu'elle se sent mal, quelque chose qu'elle n'avais jamais ressenti. Je l'emmène sur le lit, je sent que la situation est sérieuse, le sujet de dispute est devenu le cadet de mes soucis, et je suis impuissant face à la situation: elle s'évanouit, tremble, les yeux révulser, "je suis en train de mourir" me dit elle à voix haute, car c'est ce qu'elle a entendu, je ressens des frissons comme je n'en ai jamais ressenti, la soutien autant que faire se peut, et malgré mon incompréhension, j'ai l'intuition qu'appeler le SAMU n'est pas une bonne idée. D'un coup elle bondit et hurle de douleur, sa jambe est raide comme un bout de bois, s'en ai trop pour moi, tout en lui parlant autant que je peux, je prends mon téléphone pour appeler de l'aide, pas le temps d'avoir un interlocuteur que celle-ci revient à elle: panique peur souffrance incompréhension. Cette scène s'est passée vers les minuit, lundi dernier. Nous retournons dans le salon, franchement retournés mais nous gardons notre sang froid. Après une discussion pour lui dire à qu'elle point je l'aime, je me lance dans des recherches sur le net, directement sur le sujet des "entités". Je me retourne de temps en temps pour voir comment elle va, elle est à genoux le regard dans le vide mais préoccupée, et sous mes yeux elle s'effondre. Même scénario, convulsions, yeux révulsés, cette fois c'est son bras qui se durcit comme du marbre. Les douleurs sont extrêmes. Il est maintenant vers les 3h du matin, elle se sent très faible, je lui dis de s'habiller et direction la cathédrale qui se trouve pas loin de chez nous. Je précise que tout les deux n'adhérons à aucun dogme, mais je voulais exploiter l'idée qu'un prêtre puisse peut être nous aider. Évidement cette cathédrale est fermée, et n'ouvre qu'à 14h! Nous prenons la voiture chercher une autre église, fermée également, nous trainons dans la rue quelques temps, puis à l'ouverture d'une boulangerie nous achetons un petit déjeuner, très difficile à avaler... Nous retournons à l'appartement, essayer de dormir, la scène recommence, peut être un peu moins forte que les autres, épuisé je lui demande qu'on s'en aille. Elle me convainc de rester, trop exténuer, elle refusait que l'on fuie notre propre appartement. On s'endort tant bien que mal, lorsque je me réveille, ses yeux convulsent mais pas de tremblements et de douleur. Elle se réveille pas reposée du tout. Il est 14h, je lui dis direction la cathédrale, elle insiste pour prendre une douche, chose faite nous somme sur le point de partir, juste le temps de récupérer sont manteau sur le canapé, où elle s'effondre pour refaire cette crise. En plus des autres effets, cette fois ci elle ressent un étranglement extrêmement violent, je l'entend suffoquer, la scène est terrible à vivre mais je reste à ses cotés lui dire que je l'aime, implorer je ne sais quoi de l'aider. Cela cesse (ça ne dure jamais plus de 3 ou 4 minutes je dirais). Les marques d'étranglement sont vraiment très nettes, son cou est rouge (j'ai oublié de préciser que peu avant la première crise la veille, elle a ressenti une forte piqure sur le ventre en allant dans la cuisine, les marques étaient aussi très nettes, une 20ene de petits trous, j'ai pris des photos d'ailleurs). Plus déterminé et retourné que jamais, nous nous précipitons à la cathédrale, nous nous asseyons quelques instants sur des sièges disponibles, pas de prêtre en vue, je craque quelques instants, ça fait du bien. Je me lève faire un tour pour trouver un prêtre, on me dit qu'il n'y en a pas avant 18h. Nous allons à une autre église, pas de prêtre présent, il faut prendre rendez vous. On me signale un autre endroit pas loin de chez moi, nous y allons, fermé (nous sommes toujours Lundi...). Nous décidons d'aller chez les parents de Julie, 130 km au sud, donc juste le temps de passer à l'appartement prendre nos affaires, les sacs sont faits, le temps que j'aille récupérer des affaires dans le salon, Julie ne répond plus, je la retrouve effondrée à moitié sur le lit, à moitié à terre, en crise, moins forte que d'habitude. Pendant sa crise elle me dit: -"Écoute!" -"J'écoute" -"Je suis désolé de te faire subir tout ça!" Elle revient à elle, nous partons. Je lui raconte ce qu'elle m'a dit, pour elle c'est le trou noir. Les crises précédentes elle se sentait lutter de toutes ses forces contre quelque chose d'extérieur qui voulait rentrer en elle. Nous arrivons sans problème à destination, diner avec les parents que bien sur nous ne mettons pas au courant, pas de problèmes. Plus tard dans le lit, nouvelle crise, cette fois pas de lutte, pas de douleur, cela commence juste par des tremblements, les yeux sont révulsés et elle a des spasmes. Elle me parle, enfin quelqu'un me parle à travers elle, car me parle de Julie à la troisième personne. C'est son grand père, il est vraiment désolé de nous avoir fait subir cela, mais c'était sont seul moyen me dit-il. Il m'annonce que Julie va avoir un accident, ce faire percuter, et qu'il fallait qu'il nous prévienne. Je demande plus de détail, quand je lui demande quand? comment? il me dit que sa dépendra d'elle et de moi, je lui demande la gravité il me dit qu'elle n'en mourra pas mais que ce sera difficile pour elle. Il me dit aussi que les rêves qu'elle avait faits quelques mois auparavant (elle avait rêvé que nous avions une petite fille, et que nous vivions dans une maison avec nos cabinets de travail chez nous) sont ce qui nous attend, que de nombreuses années de bonheur nous attendent. Je lui demande pourquoi avoir fait souffrir Julie comme ça il me dit qu'elle ne se laissait pas faire et qu'il était obligé. Je ne me souviens pas de l'intégralité du dialogue mais c'est le principal. Julie revient à elle, pour elle c'est le trou noir (malgré que certains éléments lui reviennent par la suite, sans que je lui raconte), je lui raconte donc cette discussion. Sont sentiment est qu'elle s'en doutait. Au cour de la nuit, et de la journée suivante, son grand-père s'incorpore encore quelques fois, ou j'en profite pour discuter un peu avec lui, même si les questions ne me viennent pas vraiment. Assez vite quelque chose me travaille, je lui demande comment cela se fait qu'il s'exprime comme Julie. Il me demande si je doute. Je suis un peu paumé, je lui répond qu'il y à quelques jours encore, mes croyances étaient très limitées, pour moi le corps était différent de l'esprit, mais je n'allais pas plus loin. Il me dit que tant que je doute je ne pourrais progresser. Je lui demande de m'aider à assimiler. Il m'expliqua également qu'il utilisait le corps de Julie que comme un outils, qu'il se servait de ses propres ressources, tandis que d'autre entités pouvais faire autrement. Le lendemain, il se manifeste et me suggère d'aller chercher une feuille et un bic pour me montrer et qu'il revient quand c'est prêt. Julie revient à elle, va chercher une feuille prend un bic. Je lui demande de fermer les yeux et de se laisser aller, d'appeler son grand père, 10 secondes plus tard, convulsion des yeux, c'est parti. Il me dit "je ne suis pas sur d'y arriver". Le bic se promène, lentement mais surement, il écrit un message, destiné à Julie. L'écriture n'est pas celle de Julie. A vrai dire je ne suis pas surpris. Tout se passe bien pendant 2 jours, puis lors d'une nouvelle "incorporation", cette fois ci Julie semble souffrir terriblement, comme les premières fois. Son grand père viendra me dire par la suite qu'une autre entité mal intentionnée essaye de s'incorporer, il ne faut surtout pas la laisser faire. Je lui demande de faire tout ce qu'il peut, il me dit qu'il fait sont maximum. Les "incorporations" douloureuses continuent le long de la journée, Julie est vraiment affaiblie, ne dormons 3h par nuit, depuis dimanche, elle lutte de plus en plus difficilement. Cette mauvaise entité se manifeste encore un soir et cette fois me parle. Le dialogue me glace. Entité: - Robert, Robert c'est toi ?! (Julie ne reste pas calme comme lorsque c'est sont grand père, le ton est tremblant, différent), (Robert est le nom de mon père) Moi: -"Qui êtes vous?" Entité: -"Robert... Robert, pourquoi tu me vouvoies?" Moi: -"Écoutez moi je veux vous aider, il faut que vous montiez à la lumière" (cela est dit sans conviction, je ressens plus de peur qu'autre chose, j'ai fortement l'impression que ce n'est pas ma grand mère décédée. Entité: -"Robert... pourquoi tu ne me donnes pas de tes nouvelles (le ton est toujours effrayé) (Je suis perturbé, je sais que mon père a eu des rapports difficiles avec sa mère et est parti en mauvais terme de chez lui) Entité: -"Monique n'est pas morte" (Monique est le nom de mon autre grand mère, j'essayais de l'appeler depuis 2 jours mais elle ne répondait pas, j'étais un peu inquiet.) Moi: -"..." j'ai rien à dire, trop perturbé. Julie revient à elle, je lui raconte le dialogue, elle me dit qu'elle ressentait quelque chose de "très mauvais" Plus tard, son grand père se manifestera, la différence de ton et le calme de Julie sont rassurants. Il me dit avoir discuté avec cette entité et me raconte son histoire. C'est une femme prénommée Stéphanie, qui est morte à 23 ans d'un accident de voiture, alors qu'elle venait de partir de chez elle après une dispute avec son copain Frédéric qui l'avait trompée et que c'était l'homme avec lequel elle se projetait dans l'avenir. Il n'arrive pas à la convaincre d'arrêter, il me dit que Julie est très faible, il faut qu'elle lutte, je lui demande quoi faire, il me répond de lui donner le maximum d'amour, je lui demande de faire tout son possible pour la protéger, chose qu'il fait. Le lendemain cette Stéphanie continue à se manifester à travers Julie, et arrive de temps en temps à parler, me demande "est ce que tu l'aimes ?" je lui répond oui, elle me répond "maintenant que je sais que tu l'aimes je vais pouvoir vous faire souffrir tous les deux." Je lui explique que c'est peine perdue, elle n'y arrivera pas, et que Julie est plus forte qu'elle, elle essaye de m'expliquer le contraire. Julie revient, et après quelques repas et du sommeil, reprend des forces, malgré les "attaques" régulières de Stéphanie, qui n'arrive plus à parler à travers Julie, les luttes sont moins longues, mais toujours l'étranglement, et le visage qui se colle au matelas pour un étouffement physique, que je m'empresse toujours de dégager malgré une résistance très forte. Je récite également des prières avec toute la conviction possible pendant ces moments. Julie semble plus à l'aise pour gérer ces attaques et mon corps se glace un peu moins... Son grand-père n'est pas intervenu depuis, pour préserver son énergie j'imagine, bien qu'il m'ait prévenu qu'il viendrait de moins en moins. Voilà où nous en sommes, on est Samedi, toujours chez les parents de Julie et nous rentrerons chez nous dimanche. Je me rends compte que mon récit est long, j'espère que vous êtes arrivé jusqu'ici, maintenant, mes questions sont celles que vous pouvez imaginer, et vous en poser serait surement limitant. Si le cœur vous en dit, c'est avec un immense plaisir que je vous lirai, me dire tout ce que cela vous inspire, tout ce que vous estimez important pour nous, bref, tout ce que vous voulez. Avec le recul je crois qu'en fait, oui, c'est un petit peu une demande d'aide que je vous adresse là. Bien que je sois fier de la façon dont Julie et moi avons géré la situation jusqu'à aujourd'hui ! Je vous souhaite une bien belle journée, au plaisir !

Merci.

Victor.


Ce qui suit est raconté de mon point de vue (Julie), mais avec l'aide de Victor pour rester le plus fidèle possible à la chronologie des évènements, et avec le plus grand souci du détail, car bien des choses restent floues. En espérant que cela pourra aider, ne serait-ce qu'une personne qui vivrait la même chose.

Suite à notre mail et un coup de fil en guise de briefing avec Francis le Samedi, nous convenons d'un rendez-vous téléphonique pour le dimanche soir. La journée se passe tranquillement, sans la moindre manifestation, nous allons même au restaurant le soir pour se changer les idées. Au retour, nous nous endormons rapidement, c'est toujours le moment idéal pour que les entités puissent faire signe. Ca ne loupe pas, pendant mon sommeil je me sens très mal, mon bras s'agite dans les airs pourtant je ne le sens même pas, je suis également aveugle d'un oeil pendant un instant. Nous somme Dimanche, je suis stressée mais j'ai aussi hâte de voir comment va se dérouler cette soirée qui est censée me « libérer ». Aucune manifestation durant la journée, nous remontons chez nous en voiture, un peu angoissé car Stéphanie est morte dans un accident de voiture... et ses objectifs sont clairs, nous séparer. L'heure du rendez-vous arrive et le stress monte horriblement. Je suis réellement angoissée... je ne sais pas exactement les raisons : peur de ne pas être à la hauteur (bien que je ne fus qu'un téléphone entre les entités et Francis), peur de ne pas être assez forte pour accepter de prêter mon bras, d'être trop investie... Bon, problème de téléphone qui n'a pas l'option main libre, c'est finalement en vidéo conférence que nous entrons en contact avec Francis. C'est sympa, on peut se voir en plus de s'entendre ! Francis nous explique comment il va procéder, détend l'atmosphère, un peu seulement car j'ai une boule dans l'estomac comme ça ne m'était pas arrivée depuis très longtemps... nous commençons en sachant que ni Victor ni moi ne devons intervenir. Je dois essayer de rester objective et Victor doit relater ce qu'il se passe. On commence, Francis lance une première invitation aux entités présentes pour se manifester, j'essaye de me concentrer en mettant de côté mon appréhension mais c'est très compliqué. Je savais que le plus dur était passé la semaine précédente mais je ne réussis pas à me calmer. C'est d'ailleurs probablement la raison pour laquelle les débuts sont laborieux... Il faudra à Francis plusieurs appels, ciblés ou non, avant que mon « grand-père » se manifeste vocalement à travers moi, le visage contre le bureau, Victor comme un journaliste avec le micro en main pour rester à bonne distance. Mon grand-père semble pour la première fois stressé... me voilà stressée pour deux maintenant. Nous faisons donc une pause. C'est avec beaucoup d'humour de la part de Francis et des gestes tendres de Victor que je me ressaisis un peu. J'ai compris que pour pouvoir aider ces entités : Stéphanie, mon grand-père ou d'autres, je devais me détendre, mettre de côté mes émotions pour laisser libre cours aux leurs. Francis relance ces appels en expliquant que nous sommes tous les trois d'accord pour qu'une entité se manifeste à travers moi, que se soit par la voix, l'écriture... Nous sommes là pour aider sincèrement et non pas pour faire une « expérience paranormale », du spectacle ou tout simplement s'amuser. Je me concentre en fermant les yeux, je décrispe la main qui tient mon stylo et je la sens trembler, puis bouger de manière sacadée sans que je ne contrôle rien. Je suis envahie d'un grand bien-être. Je ne sais pas de qui il s'agit mais je ressens un grand calme. Je sens son envie d'écrire. L'entité commence à suivre les instructions que Francis lui donne, fait des traits partout, des ronds. Il faut que l'on s'harmonise, qu'il (ou elle) apprenne à écrire à travers mon bras. Victor raconte à Francis ce que dessine ma main. Je sens qu'elle est prête à communiquer. Je ne me souviens plus exactement des questions que Francis lui a posées, car je n'étais pas entièrement consciente lorsque « j »'écrivais. Je sentais simplement ma main se déplacer alors que mes yeux étaient fermés et je découvrais au fur et à mesure ce qui était écrit sur la feuille. Francis lui a demandé son nom : Lydia. Etait-elle prête a communiquer et à nous aider ? Oui. Elle est également bien là où elle est, et n'a pas besoin d'aide. Notre cible est donc Stéphanie, notre alliée Lydia, et on imagine que bien d'autres sont présent(es) mais ne se manifesteront pas. Elle est en contact avec Stéphanie et répond à sa place, en parlant à la 3eme personne. Francis mène sont interrogatoire. Pour résumer : Stéphanie ne veut pas d'aide, elle ne veut pas partir, elle est en colère, et elle est là à cause de lui (Frédéric, son copain qui l'a trahie.) Je sens vraiment que lydia a envie de nous aider. Au moment où Francis demande à Stéphanie si elle serait capable de pardonner à cet homme, je ressens un changement. Ce n'est plus Lydia qui utilise ma main mais Stéphanie. L'écriture qui était celle d'une enfant jusqu'à présent devient plus violente, elle est totalement différente, aussi différente que les sentiments que je ressens. Il y a une vraie colère et souffrance en moi à ce moment-là. Francis pose des questions pour comprendre cette colère, cette souffrance. Il s'avère que nous apprenons des choses que mon « grand-père » avaient déjà dites à Victor lors de ses manifestations impromptues. Pour résumer : elle veut que je souffre, elle ne supporte pas que je sois heureuse avec Victor, elle rêvait de vivre une histoire comme la notre, elle m'en veut d'avoir réussi, nous avons vécu les mêmes douleurs et épreuves qu'elle avait également surmontées mais il l'a trahie. Elle veut que je sois aussi malheureuse qu'elle, que je vive la même souffrance. (toutes ces phrases sont manuscrites) Francis essaie de trouver un moyen de la convaincre de se laisser aider à rejoindre la lumière pour éventuellement retrouver un être cher qui serait parti avant elle, mais elle n'avait pas de famille, et elle ne connait personne qui soit décédé. La situation est de plus en plus compliquée. Francis essaye de lui faire entendre raison, d'imaginer que ce soit elle qui vive ce qu'elle me fait vivre, qu'elle n'a pas le droit de faire ça, mais rien à faire. D'un regard extérieur, c'est très intelligemment mené, on sent la grande expérience de Francis en la matière. Il alterne le travail de psychologue, enquêteur, commercial... Il joue une nouvelle carte, en demandant à Stéphanie si elle arrivait à faire subir la même chose à Frédéric, mais Lydia (notre scribe) nous fait savoir qu' « il ne la ressent pas ». Francis lui propose alors de m’échanger contre Frédéric, un silence s’installe et Stéphanie, surprise par cette proposition inattendue, demande comment cela peut-il se faire. Francis arrive à la convaincre que si elle accepte de monter là où il lui propose d'aller, elle pourra appeler, pendant son sommeil profond, l'homme qui l'a blessée, afin de le faire souffrir, lui et sa maîtresse autant qu'elle souffre (sachant qu'une fois à la lumière, elle ne ressentirait plus ce besoin de se venger). Je ressens que sa colère est de moins en moins forte. Francis me demande de le regarder pour qu'elle puisse le voir à travers mes yeux, qu'elle puisse regarder son aura et qu'elle comprenne que sa démarche est sincère. Elle accepte de lui faire confiance. « Quel moyen ? » C'est là que Francis la guide. Il lui demande de regarder vers le haut et de chercher un point de lumière. Après quelques instants, elle écrit ses derniers mots : « Je l'ai, je le vois ». Il lui demande de vouloir très fort atteindre ce point, de me prendre la main et de m'emmener jusqu'où elle peut, et il en profite également pour dire à Lydia et à mon grand-père de la suivre. Je ne saurais pas poser des mots sur ce que j'ai ressenti. Tout ce que je sais, c'est que quand je suis revenue à moi je me sentais profondément bien, heureuse et pleine d'amour. Je pleurais sans pouvoir vraiment expliquer pourquoi. Je sais que l'émotion a été partagée. J'ai sentie que Victor et Francis étaient tout aussi émus. Après cette expérience, j'ai envoyé tout l'amour que j'avais en moi à Stéphanie, Lydia, et mon grand-père. Nous avons eu beaucoup de chance que Lydia intervienne.

Ce n'est vraiment pas facile de mettre des mots sur cette expérience, mais je suis heureuse de l'avoir vécue. Depuis, je me sens sereine, heureuse et vraiment emplie d'amour. Je remercie Victor de m'avoir autant soutenue car son amour, ses mots, ses gestes... m'ont beaucoup aidée, que se soit ce soir là ou la semaine qui l'a précédée. Je sais que Francis ne veut pas de remerciements mais nous lui sommes vraiment reconnaissants d'avoir été sensible à notre détresse.

Julie.


Hello Julie.



Comment s'est passé cette première journée après "libération" ?



Bises, Francis.


J'ai d'abord passé une nuit où je me suis enfin reposée pour la première fois depuis une semaine... En ce qui concerne cette première journée, j'essaie de prendre du recul mais je me sens remplie d'amour et vraiment sereine ! Aucune manifestation à cette heure-ci... mais une chose incroyable m'est arrivée cette nuit, je me suis sentie vibrer intérieurement alors que je dormais mais aucun souvenir de quoi que se soit d'autre !!



A bientôt, Julie.


Tu as approché un Ami très cher qui fut mon instructeur pendant quelques années et je lui ai demandé de t'apporter sa protection et de renforcer la tienne.........cela devrait laisser des traces, de bonnes traces. Stéphanie va doucement retrouver sa lucidité et sa grandeur d'âme naturelle, elle n'oubliera jamais ce qu'elle t'a fait et sera là quand tu auras besoin d'une Amie discrète.



Continue à me tenir au courant de ton "rétablissement".

Le SAV des passeurs d'âmes.



Bises, Francis.

Le voyage astral et la peur.

La fatigue et le stress (préoccupations qui prennent de l’importance) peuvent bloquer les projections. Je dirai simplement que personnellement je n’ai pas toujours la tête à ça ! Par fatigue mentale essentiellement : je n’ai pas l’envie de me projeter ailleurs. Donc là, pour mon cas, ce n’est pas un blocage pendant le voyage mais avant… c’est souvent ainsi quand j’ai des idées grises et que j’ai du mal à m’imaginer un peu de soleil dans mon environnement. Pourtant, c’est bien dans cette baisse d’énergie que j’aurai besoin d’un bon voyage ! Comme dit le chanteur: « il faut remplacer le besoin par l’envie »…

Un petit exemple : il y a deux ans, j’avais prévu un voyage à une date fixée. Le jour J se déroule comme je l’avais « souhaité », et en soirée je me retrouve seul , comme je l’avais prévu. Mais l’enthousiasme était redescendu, de me retrouver seul justement. Et je n’avais pas prévu de ressentir ce vide en moi. Je m’interroge une heure ou deux, fais deux trois bricoles, puis je décide, je me force presque, mais le mot n’est pas adéquat en cette circonstance, c’est pas comme se forcer à "voyager" huit heures à l’usine! Donc je décide de mettre de la musique et de m’installer confortablement. Le voyage est un peu chaotique au départ, je met une couverture sur moi et me roule en boule pour me réchauffer, j’éteins tout ce qui pourrais faire du bruit pour essayer de rentrer en résonance avec les forces de la terre, je fais des mouvements de va et vient avec le haut de mon corps et je psalmodie quelques paroles, de petites incantations pour me propulser, pour entrer en communication avec mon environnement. Cela marche très bien cette nuit là, si au matin je pleure, c’est de joie, je n’ai pas dormi mais je suis content d’être vivant sur cette planète si belle. Tout mes problèmes du moment avaient été passé au broyeur du rire. J’ai pu me recentrer sur des actions personnelles qui me ressemble plus, au lieu de me disperser dans des choses qui n’ont aucun sérieux pour moi. La vie ressemble autant à ce que nous faisons que ce que nous ne faisons pas. Et quand nous ne faisons plus certaines choses, nous pouvons passé plus de temps à d’autres qui nous conviennent mieux.

Voilà c’était juste pour souligner que des blocages peuvent survenir pour bien des raisons. Mais que la forme de « peur » que j’ai ressenti avant le voyage, n’avait pas de raison d’être ! J’avais peur de me sentir encore plus seul encore dans l’autre monde, sans un frère ou une sœur autour de moi, tous à leur activité et moi dans un coin, isolé du monde… bref, j’avais peur de déprimer grave…. Quand je repense à cette idée bloquée en moi, alors que je connaissais déjà les bienfaits d’une projection réussie, je me demande dans quel état d’esprit j’étais. Je devais être vraiment perdu dans les labyrinthes de ma vie et de mon cerveau. JE m’étais oublié en quelque sorte.

Un deuxième cas, totalement diffèrent, je me réveille dans un rêve étrange, je prends conscience que je dors mais je « flotte » au dessus de mon lit, à un ou deux mètres. L’expérience m’est familière, mais rarement avec une telle lucidité de mon corps au-dessous, même mon corps astral gardait une forme, une enveloppe humaine. Vu que je contrôle à peu prés mon état, c’est-à-dire que je le conserve avec mon raisonnement ordinaire, je me dis que ce serait sympa d’aller faire un tour au dessus de ma maison pour regarder la rue de plus haut, goûter à cette vision nocturne en me rapprochant des étoiles. Je me rapproche d'abord du plafond , car je sens bien que je n’ai aucune matière et que je peux le traverser sans problème, et que du grenier, j’aurais un accès facile au ciel de la nuit. Mais je bloque au plafond, quelque chose en moi n’est pas normal.

En projection astrale, je me serais contenté d’aller au dessus de la maison, presque de façon instantanée, en projection pure, je ne me pose pas la question « comment je vais aller là ? » , le fait d’y penser simplement m’amène sur place, un peu comme dans un rêve classique où vous pouvez vous retrouver à des endroits différents sans aucune transition.

Mais dans ce rêve , comme j’ai dis, j’avais gardé la conscience de mon corps, et en gros, j’avais peur de me réveiller avec la tête dans le grenier et les jambes dans ma chambre ! Comme si mon corps astral était mon corps réel, et que celui allongé sur le lit aurai réintégré celui en train de traversé le plafond en cas de réveil !!! J’ai le souvenir d’être resté un moment dans cette dualité, et finalement, j’ai du me rendormir sans en être conscient.

Je ne pense pas que cette peur soit bien raisonnable ...

Wildh.

dimanche, juillet 31 2011

Recette du corps humain.

Vous n'êtes pas simplement un nom et un prénom, dotés d'une histoire sociale. Voici votre véritable composition.

Vous êtes 71 % d'eau claire, 18 % de carbone, 4 % d'azote, 2 % de calcium, 2 % de phosphore, 1 % de potassium, 0,5 % de souffre, 0,5 % de sodium, 0,4 % de chlore. Plus une bonne cuillerée à soupe d'oligo-éléments divers : magnésium, zinc, manganèse, cuivre, iode, nickel, brome, fluor, silicium. Plus encore une petite pincée de cobalt, aluminium, molybdène, vanadium, plomb, étain, titane, bore. Voilà la recette de votre existence. Tous ces matériaux proviennent de la combustion des étoiles et on peut les trouver ailleurs que dans votre corps. Votre eau est similaire à celle du plus anodin des océans. Votre phosphore vous rend solidaire des allumettes. Votre chlore est identique à celui qui sert à désinfecter les piscines. Mais vous n'êtes pas que cela. Vous êtes une cathédrale chimique, un faramineux jeu de construction avec, ses dosages, ses équilibres, ses mécanismes d'une complexité à peine concevable. Car vos molécules sont elles-mêmes constituées d'atomes, de particules, de quarks, de vide, le tout lié par des forces électromagnétiques, gravitationnelles, électroniques, d'une subtilité qui vous dépasse. Rien de ce qui vous entoure dans le temps et dans l'espace n'est inutile. Vous n'êtes pas inutile. Votre vie éphémère a un sens. Elle ne vous conduit pas à une impasse. Tout a un sens. Agissez. Faites quelque chose, de minuscule peut-être, mais bon sang, faites quelque chose de votre vie avant de mourir. Vous n'êtes pas né pour rien. Découvrez ce pour quoi êtes né.

Quelle est votre infime mission ?

Vous n'êtes pas né par hasard.

Bernard Weber.

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