Quand on a vécu certaines expériences dites mystiques, irrationnelles, phénoménales etc. on peut alors comprendre, ayant eu accès à d’autres dimensions plus subtiles ayant un espace-temps différent du nôtre, certains de ces étranges évènements se déroulant, se répercutant dans cette 3ème dimension. Je vais prendre deux exemples très différents que nous connaissons tous : Le somnambulisme et la combustion spontanée appelée aussi auto-combustion (cette dernière appellation allant plus dans le sens de mon hypothèse). Je vais, ici, faire très court car j’ai déjà développé, il y a longtemps, plus largement ces deux sujets. Ce sont donc des hypothèses* et non des thèses** réfléchies après mon réveil spirituel du 10 octobre 1991. Le somnambulisme : Je pense qu’un somnambule est un homme endormi qui fait une « sortie » en éthérique, en entrainant avec lui son corps physique (matériel) qu’il aurait normalement dû laisser dormir paisiblement dans son lit. Ce qui explique qu’un vrai somnambule pur et dur évite, ses yeux physiques fermés (ou restés ouverts pour certains) dans le noir tous les obstacles se trouvant sur son chemin nocturne. Je rappelle que lorsque nous sortons avec notre véhicule éthérique (vital, énergétique), nous ne nous éloignons jamais de notre corps physique auquel nous somme reliés par un cordon souple et extensible (appelé corde d’argent par les « initiés » car il a cet aspect), en général nous restons dans notre demeure. L’auto-combustion : Je pense que c’est notre partie profonde (Maître intérieur, le Soi etc.), notre Être Essentiel (essence-ciel) qui met le feu (Oui, j’ai osé ce jeux de « maux »), via sa Kundalini, à son être existentiel qui ne Lui apporte rien pour sa progression spirituelle dans la présente incarnation… un suicide spirituel en quelque sorte… Auto-crémation qui respecte toujours les autres et même l’environnement du calciné… juste une noirceur grasse des murs et objets à proximité des reste du corps. Je rappelle, avant une nouvelle levée de boucliers, la définition entre une thèse et une hypothèse… j’ai aussi, prudemment, rajouté un « Je pense » avant chaque paragraphe… ceci pour me mettre à l’abri des personnes qui, vous les reconnaîtrez, nous disent à tout bout de champ (marrante cette expression dont je vais m’empresser d’en trouver l’origine) « Il ne faut pas juger ! »… en général, ces dernières n’écrivent pas grand-chose… ni thèse, ni hypothèse, ce qui les met à l’abri des « jugements ». Dommage que cette collaboration entre les scientifiques et les chercheurs spirituels ne soit qu’à ses débuts. Il faudrait plus de scientifiques-spiritualistes et plus de spiritualistes-scientifiques.

Francis Bourcher.

PS : Vous trouverez, si vous voulez en savoir un peu plus, les deux liens menant vers mes articles écrits il y a longtemps.

*Thèse : « action de poser ») est l'affirmation ou la prise de position d'un locuteur, à l'égard du sujet ou du thème qu'il évoque.

**Une hypothèse : est une proposition ou une explication que l'on se contente d'énoncer sans prendre position sur son caractère véridique, c'est-à-dire sans l'affirmer ou la nier.