On me pose parfois cette question : "Francis, la base de vos partages, de votre enseignement, vient de quelle Tradition ?" D'aucune ! Ces partages, cet enseignement, viennent d'expériences vécues à partir du 10 octobre 1991. J'ai même, à partir de ce jour, été pris de court par un manque de vocabulaire pour les décrire... Ce qui n'est pas plus mal, car je les ai racontées "brut de décoffrage" d'abord à mes Proches, à mes Amis (Ils s'en souviennent par les prises d'aspirine que j'ai provoquées :-( ), puis ensuite à toutes mes nombreuses clientes esthéticiennes que je ressentais "branchées" recherche spirituelle... Déjà, ce sont des femmes, donc avec une conscience qui fonctionne plus avec l'hémisphère droit de leur cerveau (Le cerveau droit, c’est le siège de l’intuition, de la créativité, de l’imagination, des émotions et de la pensée fulgurante), 70% des 10 871 membres, de ma page publique "Accepter de s'éveiller", sont des femmes... le hasard n'existe pas ! Je ne partage pas, pour éclairer et éveiller, ce que j'ai lu ou entendu... je partage mes réflexions venues du plus profond de mon corps, de mon âme et surtout de mon Esprit... (merci à mon Maître intérieur d'avoir bien nettoyé et amélioré ce circuit interne :-D )... ceci à partir de mon vécu depuis 26 ans. On me dit aussi assez souvent : "Francis, vous avez quand même eu la chance de communiquer avec de Grands Êtres désincarnés et leurs poser les bonnes questions qui permettent de mieux comprendre tous les grands mystères qui entourent l'homme et plus. La chance, son contraire et le hasard n'existent pas pour celui qui a dessillé (terme de ces Amis cités plus haut) ses yeux, élargi sa conscience et ouvert son cœur à tout ce qui évolue (visible et invisible) sur cette belle (surtout à l'origine :-( ) planète terre... S’ils existaient vraiment, ce serait une "injustice Divine !"... voici deux mots que l'on ne peut pas associer ! Aucune religion, tradition et autre dogme ont influencé ma Connaissance actuelle...si cela avait été le cas, j'utiliserai alors, sans majuscule, le mot "savoir" et je ne serai qu'une bibliothèque sur pattes (clin d'œil, avec ce dernier mot, au monde animal, végétal et même minéral)... Mes proches m'entendent dire souvent, avec humour, "Quelle vie de con !" et "Quand je partirai, je veux aller au Paradis des chats !".

Francis Bourcher